La logeuse - Histoires de Sexe

La logeuse

... Effectivement, l’exercice me plaisait, et je me dis que c’eût été bien différent si elle avait conservé sa toison.

Je continuai mon baiser, et commençai à tourner ma langue en elle, tandis qu’elle me caressait tendrement la tête.

Peu à peu, elle se mit à gémir et me dit que je me débrouillais bien. Elle ondula des hanches pour m’aider dans mes mouvements, tandis que je sentais ses chairs se durcir sous ma langue. Soudain, elle poussa un petit cri puis dit :

— Ohh, je jouis…

Après avoir continué quelques instants, elle me fit m’interrompre.

— Oh, c’était si bien, vraiment tu te débrouilles bien pour un novice… Je vais te montrer autre chose : pose un de tes doigts là, au sommet de la fente… Voilà, tu es au bon endroit, sur mon clito. N’appuie pas, mais masse-moi doucement…

Elle commença à gémir de plus en plus fort, comme lorsque j’avais ma bouche sur elle. Elle me cria de continuer, que j’avais trouvé le bon rythme. Continuant ainsi quelques minutes, elle finit par pousser un grand cri, et me dit :

— Ça y est, tu peux arrêter… deuxième orgasme, t’es vraiment un champion. C’était génial, vraiment tu es un gentleman, tu n’as pas essayé de me doigter.

Effectivement, elle était en nage, et semblait encore plus émoustillée :

— Bon, on passe aux choses sérieuses.

Et elle me prit par la main pour m’amener jusqu’à sa ...

... chambre, meublée très simplement, avec un grand lit au milieu.

Elle s’étendit sur le lit et nous commençâmes à nous embrasser tout en nous caressant. Enlacés, mes mains finirent par retourner sur sa poitrine, puis à aller plus bas…

Ces caresses la firent de nouveau gémir, puis elle décida de prendre les choses en main : elle décalotta mon membre qui recommençait à être dur, et commença à l’agiter. Elle finit par me dire :

— Mets-toi sur le dos.

Lentement, elle vint s’empaler sur moi en tenant d’une main ma queue. Lorsqu’elle fut totalement rentrée, elle commença doucement à s’agiter et je mis mes mains sur sa poitrine. Prenant de l’assurance, je tentai quelques coups de reins, elle me dit :

— Doucement, jeune homme…

Puis :

— Là, à ce rythme, c’est bien…

Elle prit une de mes mains et la posa sur son pubis lisse en me disant de me servir de mes doigts pour lui donner un supplément de plaisir… Les gémissements s’accélérèrent, elle eut un orgasme.

Elle me dit :

— On va continuer, mais passe au-dessus.

J’appliquai ses conseils et entrai en elle doucement. Ses encouragements s’accélérèrent, ma tête commença à tourner, et d’un coup nous poussâmes tous deux un cri d’extase. L’initiation était terminée, et j’eus les félicitations de l’examinatrice.

Je la quittai le lendemain sans connaître son prénom ni jamais l’oublier.