1. Un Tour de France érotique


    Datte: 05/10/2022, Catégories: grp, fplusag, couleurs, Collègues / Travail hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, fsodo, coprolalie, Partouze / Groupe Humour totalsexe, extraconj, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... cul bien ouvert de Marianne qui s’exclama :
    
    — Qu’est-ce que tu fais là ? Il est déjà 20 h ?
    — 20 h pétantes, ma chérie, je crois que c’est le mot qui convient à ce que je vois, répliqua Juliette, qui avait bien vu que le couple était en pleine sodomie.
    — Mais on n’a pas fini !
    — Finissez si vous voulez, mais nous, on commence, riposta Juliette en enlaçant son malabar.
    
    Un rien interloqués, Marianne et Stéphane virent le couple se déshabiller fébrilement, rapidement et visiblement impatient de passer à l’action.
    
    — Allez sur le lit superposé, nous, on continue ici, intervint Marianne.
    
    Le couple mixte, visiblement impatient de forniquer, ne discuta pas, mais il apparut très vite que la grande taille du vigile était incompatible avec l’usage du lit superposé. Alors que Marianne et Stéphane avaient repris leurs ébats par un classique « missionnaire », ils virent apparaître leurs voisins et Juliette indiqua :
    
    — On vient à côté de vous, c’est trop petit à côté, faites-nous un peu de place.
    
    Et c’est ainsi que débuta un quatuor non prévu au programme initial. Juliette s’allongea sur le lit aux côtés de Marianne et Stéphane et prit la tête rasée du vigile pour l’entraîner entre ses cuisses grandes ouvertes. Elle connaissait la réputation des noirs experts dans le cunni et à entendre ses roucoulements immédiats, l’homme répondait à ses attentes. Les « slurp-slurp » du couple mixte faisait écho aux « flocs-flocs » du duo franco-belge, car Stéphane clapotait ...
    ... abondamment dans la vulve trempée de Marianne, laquelle s’écartelait en se tenant les orteils, rendant tout son sens à l’expression « prendre son pied ». L’abdomen de Juliette, ainsi que le constata Stéphane, était agité de tremblements spasmodiques, témoignages de la diabolique habileté du noir dans son exploration linguale. Alertée par les exclamations de plaisir de sa collègue, Marianne éprouva le besoin d’observer de plus près le phénomène et se positionna en levrette tout près du couple mixte.
    
    Mais celui-ci finit par passer au stade suivant, à savoir la pénétration en bonne et due forme. Le vigile exposa alors un pénis que Marianne jugea surréaliste tant il représentait la quintessence du pénis. Une véritable sculpture en bois d’ébène. Lorsqu’il pénétra Juliette, celle-ci émit une sorte de cri guttural qui atteignit par ricochet Marianne au plus profond d’autant qu’en elle, le Belge devenait de plus en plus pointu, surexcité qu’il était par le spectacle se déroulant à quelques centimètres de lui. La souplesse des rotations du bassin du vigile, les exclamations de plaisir de Juliette, les mouvements frénétiques de croupe de Marianne, tout cela eut pour effet de précipiter l’éjaculation du Belge, incapable de réfréner son excitation devant un tel enthousiasme sexuel. Un peu confus, il se retira de la plantureuse blonde qui avait néanmoins des raisons d’être satisfaite, même si elle en aurait bien pris un peu plus… Le couple franco-belge, assis sur le lit, assista donc à la suite ...
«12...5678»