Les nièces jumelles : saison 4 (5)
Datte: 05/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... demande Megan, sincèrement inquiète. S’il raconte tout à tatie Françoise, elle serait capable de porter plainte, ou pire.
— Je sais, je sais. Ecoutez, j’ai peut-être une idée, mais... Lucy, je vais avoir besoin de ton aide.
— Tout ce que tu voudras, répond-elle.
J’ai honte de lui demander ça. C’est indigne d’un tonton, mais je ne vois pas d’autres alternatives. On discute d’un plan. Elles sont d’accord pour le suivre. Je ne sais pas si je dois être heureux qu’elles soient si accommodantes ou m’en désoler. La voiture de Jacques se gare devant la maison. C’est le moment de vérité. Je prie que tout cela se finisse bien.
Il déboule à l’intérieur en furie, vociférant de nouvelles insultes envers les jumelles. Je tente de le calmer, on en discute un peu, avant de nous décider d’aller leur parler ensemble.
— Elles sont dans leur chambre, fais-je, viens, suis-moi.
Sur place, je leur dis que nous sommes au courant de tout, elles réagissent comme si elles apprenaient la nouvelle. Elles font semblant d’avoir peur, elles surjouent un peu. Jacques les engueule sans ménagement. Je ne l’interromps pas. Ses mots doivent les blesser, mais elles sont plus fortes que ça. Lorsqu’il a fini, je reprends la parole :
— Tu as raison, ce sont des salopes, acquiescé-je avec ce qu’il vient de dire.
Il se tourne vers moi, le premier surpris que j’ose les nommer de cette façon :
— Quoi ? fais-je. Tu l’as dit toi-même. Appelons un chat un chat. Megan ? Dis-moi ce que tu ...
... es ?
— Une salope, tonton Eric.
— Là, tu vois ? Elle ne le nie pas elle-même.
Il comprend que quelque chose n’est pas normal, mais il ne voit pas où je veux en venir. Je continue mon petit numéro :
— Megan, fais-je en ouvrant ma braguette et en sortant ma queue. Montre à ton oncle combien tu es une salope.
— Oui, tonton Eric.
En bonne fille en obéissance, elle s’agenouille devant moi et commence à me sucer. Jacques en perd ses mots, il ne sait plus quoi dire devant une scène aussi obscène :
— Mais qu’est-ce que...
— Aaah ! soupiré-je. Ça c’est une bonne fille.
— Eric ! Tu as perdu l’esprit ?!
— Quoi ? Tu veux la vérité ? Tu as raison depuis le début. Ce sont des putes. Je les ai éduquées comme ça.
— Mais qu’est-ce que c’est cette maison de malades... C’est du délire !
— Tu veux aussi une pipe, tonton Jacques ? lui demande Lucy d’un ton d’aguicheuse.
Elle se colle à lui comme une séductrice tandis qu’il la repousse.
— Vous êtes fous à lier !
— Ne me dis pas que tu en as pas envie, lui fais-je. Tu crois que je ne t’ai jamais vu les reluquer ? Admets-le. Avec les années, ces gamines sont devenues de vraies bombes. Quel homme n’en profiterait pas ! Regarde-moi ces paires des nibards !
— Ce sont tes nièces ! se scandalise-t-il alors que Lucy se montre de plus en plus insistante.
— C’est vrai, et je parie qu’en ce moment, tu regrettes de leur avoir tourné le dos. Je les baise tous les jours, ce sont mes garages à bites perso. Je peux te ...