COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (3/4)
Datte: 05/10/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... te montrer que j’ai horreur des menteurs, suis-moi.
Nous nous déplaçons entre les buissons et nous arrivons à quelques mètres de la résidence.
Elle est là à quelques mètres de nous, nue sur un transat avec ses lunettes de soleil semblant dormir.
- Reste là sans te montrer, je vais te prouver que ce que je te dis est vrai.
Il me quitte et doit entrer par une porte qui m’est cachée, car quelques minutes après je le vois ressortir de la maison un plateau à la main et s’avancer vers la belle.
- Carole, ton thé est servi.
- Tu m’as fait peur, je m’étais assoupie.
Je peux presque partir, Carole, tu, ça sent la complicité m’apportant la preuve que mon pote est un garçon qui est de parole.
Le geste qu’elle fait de lui défaire son pont pour en sortir sa queue, est tout aussi explicite et en plus quand elle se redresse pour le prendre en bouche.
C’est à ce moment qu’on me tape sur l’épaule.
- Alors, on regarde ma belle-mère baiser avec son jeune valet, c’est vilain de mater !
Je me retourne, que dire, Carole est superbe, mais l’apparition que j’ai devant moi serait digne de concourir pour Miss France, pardon au moins Miss Tahiti.
Casque colonial, blouse et jupe de brousse comme j’en ai vu dans Daktari.
- Pris, oui, je regardais, mais en tout bien tout honneur.
Depuis que je suis à Papeete, je viens tous les samedis boire une bière sous la tonnelle sur la plage en admirant le panorama.
- Et il vous a fait l’aveu qu’il est l’amant de la ...
... femme de votre amiral.
- Vous étiez là, il est vrai que je lui ai demandé une preuve de ce qu’il m’affirmait !
- Et c’est pour cela que vous étiez en train de les mater !
- On pourrait croire que vous étiez là, lorsqu’il m’a avoué baiser Carole et qu’il m’a montré l’endroit où je devais me mettre.
- Carole, vous aussi êtes intime avec elle ou espériez-vous vous la partager avec notre maître d’hôtel.
Faire la conversation au milieu d’une allée, c’est bien, mais je dois rentrer à Papeete, ce soir, j’ai une soirée entre quelques amis.
- Vous avez raison, pouvez-vous m’éviter les quatre kilomètres à pied ou de me retrouver dans un car bondé ou les gens puent la sueur.
Christian !
- Lauriane!
Les présentations faites, nous remontons à l’opposé de la plage où une petite Austin décapotable nous attend.
J’ai mes jambes dans le tableau de bord, heureusement que le parcours était court.
- Vous étiez venu voir votre père.
- Vous en savez des choses, vous savez que je suis la fille de votre amiral en chef.
- C’était simplement pour faire la conversation et passer le temps.
- Dites, que ma présence vous déplait.
Je vais vous répondre, demain, c’est l’anniversaire de mon frère et je lui ai amené son cadeau.
- Votre demi-frère !
- Je vois que vous savez tout sur nous, savez-vous à quel âge j’ai perdu mon pucelage !
Je lui dirais bien que ma queue si je lui mets là où ça lui ferait du bien je serais capable de trouver cet âge.
Mais ce que ...