Série insolite. Épisode 10 : « William ». Cocu, il prend un certain plaisir à regarder sa femme se faire baiser. Partie 1/12
Datte: 05/10/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Je m’appelle William, Stella et moi, nous avions 26 ans lorsque nous nous étions mariés en 1993. Nous étions restés ensemble une vingtaine années et deux enfants étaient issus de notre union. Nous nous étions rencontrés à l’université, j’étais au courant que ma future épouse avait déjà eu de nombreuses aventures sexuelles sauvages, par le passé. Elle avait sucé de nombreuses bites dont la mienne, à notre première rencontre alors qu’elle sortait avec un copain à moi. Je n’avais que très peu d’expérience, à cette époque, Stella était seulement la quatrième fille avec laquelle j’avais couché, elle m’avait pas mal appris de ce côté-là. Néanmoins, étant tombée enceinte, cela avait précipité les choses et nous avions décidé de nous unir.
Stella était typée, une vraie méditerranéenne, elle avait toujours le sourire, avec de longs cheveux noirs, pas très grande, bien en chair, avec des seins bonnets C, un beau cul, elle plaisait beaucoup. Elle était intelligente, drôle, c’était le genre de fille que la plupart des mecs voulaient se taper. Pendant les trois premières années de mariage, tout s’était passé pour le mieux, il faut dire qu’elle avait accouché de notre fille, quinze mois après la naissance de l’ainé. Ce fut quelques années plus tard, que Stella commença à changer, elle me fit des reproches : Je travaillais trop, je privilégiais mon boulot à ma famille. Pourtant, grâce à mon bon salaire, je subvenais à tous les besoins de notre famille.
Après sept années de mariage ...
... notre couple battait de l’aile, nous devions remédier à cela. Quelques années plus tôt, Stella avait hérité de sa grand-mère, d’une toute petite maison en bois, en pleine campagne, à une petite demi-heure de notre domicile. Nous n’y avions jamais mis les pieds, uniquement pour la visiter, c’était en piteux états. Situé près de la rivière, ce petit lopin de terre complètement isolé en pleine nature était sans doute l’endroit idéal pour repartir sur de bonnes bases. Ce fut la raison pour laquelle, j’avais investi dans la réhabilitation de tout l’intérieur, tout en conservant l’authenticité et le charme de ce petit chalet. Avec les enfants, nous venions dès qu’il faisait beau, passer les week-end et une semaine ou deux pendant les congés, toutes les occasions étaient bonnes pour y venir nous ressourcer. Stella connaissait beaucoup de monde dans le village à deux kilomètres, elle y venait souvent dans sa jeunesse.
Pendant les années suivantes, l’ambiance à la maison, sans être parfaite, s’était bien améliorée. Pour ma part, je ne fus jamais un don juan, les femmes que j’avais connues se comptaient sur les doigts d’une main. Stella me faisait souvent le reproche de n’être que très peu performant et de ne pas être assez porté sur la chose. Elle n’avait pas tort car il est vrai que je ne pensais qu’à mon travail et mon évolution dans mon métier. J’aimais les femmes surtout la mienne mais je rentrais souvent très tard et lorsque je voulais faire l’amour, elle dormait ou était ...