Le choix (1)
Datte: 04/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... devait rester une vingtaine de minutes et il y avait égalité (1-1 ou 2-2 elle ne fit pas très attention). Il ne restait plus tant de temps que ça pour profiter d’Arthur.
Dans le jardin, elle vit Arthur, la main dans le short, il semblait batailler pour placer son sexe autrement. D’une façon qui le rendrait plus visible ou qui serait simplement plus confortable ? Il la retira vivement quand il vit Lucie revenir, comme s’il avait été pris en faute. En revenant vers lui, Lucie vit que le sexe d’Arthur s’était déplié le long de sa cuisse. Il devait se trouver à la limite du short du jeune homme. Emoustillée, Lucie pria pour qu’il finisse par dépasser. Elle se dit qu’elle devrait sans doute y mettre du sien. Elle avait un corps plutôt plaisant et savait en jouer quand il le fallait. Elle sentit son propre sexe vibrer à cette pensée.
Elle trinqua avec Arthur, leurs bouteilles durent s’entrechoquer trop fort et de la mousse remonta par le goulot. Ils les portèrent à leurs lèvres, mais une partie du breuvage déborda. Arthur eut une petite moustache sur la lèvre et un peu de mousse tomba sur son torse. Lucie en eut plein le menton et quelques gouttes tombèrent sur son débardeur. Pile sur son sein gauche, un signe se dit-elle. Car assez de bière imbiba le tissu qui devint translucide et son mamelon apparut. Le sexe d’Arthur repartit à bander et, bloqué par son short, se déploya vers le bas. Lucie crut bien que le bout du gland allait dépasser, mais il s’arrêta à la limite du ...
... tissu. Du coin de l’œil, elle vit le soulagement d’Arthur de ne pas se couvrir de honte. Afin de jouer un peu plus avec lui, elle se pourlécha les lèvres et le menton pour récupérer la bière qui avait débordé. Cela augmenta la tension dans le short d’Arthur, mais rien de dépassa.
Sentant probablement qu’il risquait d’en montrer trop, lui aussi, il avertit Lucie qu’il pouvait voir son téton par transparence. Elle le trouva chou, d’autres en auraient sans doute profité sans rien dire. Elle décida de mettre les pieds dans le plat et d’avoir des certitudes quant à l’attirance qu’elle exerçait sur lui :
— Merci Arthur. Mais je le savais. Tu as réagi de façon bien visible, montra-t-elle du doigt.
Arthur voulut cacher cette vilaine bosse, mais elle le retint un instant :
— J’ai compris aussi que tu avais un faible pour moi, non ? Tu n’as pas appris ma langue juste en stage. Pas vrai ?
Sa réaction surprit quelque peu la jeune femme. Au lieu de se sentir pris en flagrant délit, il parut soulagé, libéré d’un poids.
— Oui, c’est vrai. Tu es très belle, intelligente et ta personnalité me plaît beaucoup.
— Merci, c’est très gentil de ta part, répondit-elle.
Ils furent tous les deux gênés de ces aveux. Lucie regarda l’heure à sa montre, le match devait en être aux arrêts de jeu. Elle jeta un œil vers son mari : il était toujours hypnotisé par la télévision. Lucie aurait bien voulu poursuivre ce moment, maintenant qu’ils savaient tous deux ce qu’il en était. Mais ...