Hôtel Naviglio. Chambre 11
Datte: 04/10/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Iovan, Source: Hds
... écarta lentement, les lobes soyeux de ses somptueuses fesses, dans un lascif appel, d'une obscénité sans équivoque.
Le spectacle affolant du troublant petit anneau niché entre ses fesses de rêve, la lubricité de l'invite, me firent immédiatement bander de plomb.
Je me levai et me plaçant derrière elle, embrassai ses reins , la sublime douceur de ses fesses, caressant doucement, les contours délicats de sa taille , l'évasement émouvant de ses hanches, la rondeur suave du divin petit cul que je m'apprêtais à posséder.
Fermant les yeux pour mieux la voir, j'effleurai sa peau, au grain magique, plus soyeuse qu'une soie, provoquant chez ma mie, gémissements et soupirs, appelant d'autres caresses. Je me baissai et écartant les magnifiques lobes des petites fesses spirituelles, m'extasiai devant la perfection nacrée de sa jolie rosette mauve. Je commençai par y déposer de petits baisers dans lesquels je mettais toute la tendresse et le feu idolâtre, qui brûlait en moi, puis me mis la lécher, y dardant ma langue dans un baiser lascif et passionné, qui la faisait se tordre de jouissance.
Je me redressai et empoignant mon mandrin, en pénétrai, avec délicatesse sa tendre chatte, lui faisant pousser un profond soupir. Je me lubrifiai, ainsi, de cyprine et de sperme, et abouchai, ma mentule, au mignon petit anneau sur lequel, je me poussai avec douceur.
Son armille résista, puis presque d'un coup, se relâcha, et s'ouvrit, permettant à mon gland de pénétrer de quelques ...
... centimètres.
— Oh oui ! Oh chéri ! Que c'est bon...!
Cela valait pour accord. Je poussai à nouveau, lentement, et m'introduisis presque complètement en elle. Elle eut un long râle rauque. C'était divin. Son fourreau, tendre et soyeux, était incroyablement étroit et chaud. D'un dernier coup de reins, je la pénétrai entièrement, la faisant râler.
A chaque mouvement que j'imprimais à mon mandrin, répondait une contraction interne, qui lui déclenchait des ondes de plaisir, la faisant geindre et râler. De sa main droite, qu'elle avait glissée entre ses jambes elle caressait son bourgeon turgide, tandis que je caressais ses seins et ses fesses. Je la pénétrais lentement, de toute la longueur de ma queue, me retirant du même mouvement lent, ressortant presque entièrement le gland, pour le replonger dans son antre moelleux, sentant mes couilles battre sur son joli con noyé de plaisir.
J'accélérai le rythme, la pénétrant plus violemment, elle accentuait la pénétration en venant à ma rencontre à chaque va-et-vient et je l'entendais gémir de plus en plus fort à chaque coup de boutoir, je continuai ainsi de longues minutes, enserrant sa taille, ses cuisses, changeant de rythme, variant l'intensité de mes coups de boutoir. Elle était, dans mes mains, un pantin désarticulé, agité des soubresauts et de spasmes.
Râlant, feulant , gémissant, elle monta, monta encore et atteignant l'apex de sa jouissance, un orgasme violent secoua ma belle Donatella qui s'écroula, hurlant sa volupté, ...