Moi paysanne maîtresse du sexe (6)
Datte: 03/10/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... se tendre, je serre ses tétons avec mon pouce et mon index, elle réagit en resserrant ses cuisses sur ma tête.
— Oh oui, ma petite Marie, oui, je vais jouir, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Son corps se raidit, elle est tendue comme un arc, son corps tremble. Doucement, elle se détend, elle se redresse, nous regarde.
— Ça ne m’étonne pas que madame veuille vous garder que pour elle, vous êtes des déesses de l’amour. Vous m’avez très bien fait jouir, mais maintenant, il faut reprendre le travail.
Nous nous y remettons, au bout d’un certain moment, elle nous libère, je l’aide à se rhabiller, reboutonne sa robe, elle nous prend l’une après l’autre dans ses bras pour nous embrasser. Je la sens heureuse, nous en sommes très heureuses. Elle s’en va et nous allons rejoindre notre chambre. Les filles sont sur leur lit dans la position que nous avions prise avec Louise hier. Elles semblent bien s’amuser, nous allons préparer le bain, nous les entendons gémir jusqu’à ce qu’on les entende jouir. Elles apparaissent quelques minutes plus tard, nous sommes déjà dans le bain. Une fois lavées, rasées, habillées, nous descendons prendre un petit-déjeuner. L’organisation du château m’étonne, ils mangent trois fois par jour, copieusement le matin, presque pas à midi et beaucoup le soir. A la ferme, on ne mange pas le matin, pas mal à midi et un peu le soir. Mais surtout, c’est la qualité et le volume de la nourriture mise à notre disposition qui m’étonne. J’en ...
... parle à Louise.
— Tu sais, c’est comme en Angleterre, gros petit-déjeuner, repas léger et gros dîner, n’oublie pas que madame est anglaise, et monsieur a beaucoup vécu en Angleterre, il est lui aussi anglais par sa mère, c’est elle qui l’a élevé en Angleterre.
— Il doit être riche.
— Pas du tout, c’est madame qui est très riche, monsieur n’a pas beaucoup d’argent, il n’est là que pour l’apparence.
— J’ai compris pourquoi c’est elle qui commande.
— Oui, c’est elle qui commande, et c’est une chance, je crois que monsieur est plus sévère, Denise et Marthe ont moins de liberté que nous. Mais elles disent que c’est un amant extraordinaire, qu’il a un énorme sexe, qu’il est très prévenant en amour et qu’il sait faire chanter le corps de femmes comme personne.
— En réalité, ce sont deux bonnes personnes.
— Je crois oui.
— On a de la chance.
— A qui le dis-tu !!
Nous amenons le petit-déjeuner à madame, elle est toujours nue sur son lit découvert. Elle nous regarde arriver avec un grand sourire, on sent qu’elle est heureuse de nous voir.
— Vivement que vous soyez à côté, j’avais envie de vous cette nuit, mais je ne pouvais pas aller vous chercher. Les pièces seront prêtes vers midi, Andrew s’en occupe, vous dormirez ici ce soir.
— Il y aura plusieurs pièces ?
— Oui, votre chambre, une salle de bain avec une baignoire, une pièce où Bérangère viendra vous donner ses cours, et des toilettes que j’ai fait installer en arrivant au château, il n’y en avait ...