Éducation dans l'arrière-cour (1)
Datte: 02/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: euphemizm, Source: Xstory
Je m’appelle Jeanne, et j’ai 28 ans. Cela fait maintenant plus de 5 ans que je suis avec mon actuel compagnon, dont trois années de vie commune. Nous nous aimons d’un amour agréable et sincère, et Pierre me comble au quotidien dans tous les domaines.
Professionnellement, c’est lui qui m’a poussée à progresser pour obtenir la place que j’occupe actuellement au sein d’un bureau d’architectes renommé.
Physiquement, je m’entretiens au quotidien pour lui plaire et pour être bien dans mon corps. Sport, soins de mes longs cheveux bruns, crèmes pour la peau. Tout est bon pour être parfaite.
Émotionnellement, je coule de paisibles jours, agrémentés de quelques touches de surprise de temps à autres, qu’il sait apporter à l’improviste pour égayer notre routine.
Sexuellement, nous explorons. Les ébats passionnés de nos débuts ont laissé la place à une sorte d’habitude régulière, parsemée de découvertes qui surviennent dans notre lit quand l’envie nous en dit. Et ceci n’est pas pour me déplaire !
Ce dernier point était jusqu’à maintenant peut-être un peu moins flamboyant que les trois autres, mais il restait tout à fait honorable. L’histoire que j’écris ici est le début d’un tournant dans notre vie sexuelle, mais aussi amoureuse.
L’automne fait rage, en ce jour pluvieux à souhait, qui ressemble à une bonne partie de la saison dans notre petite ville de campagne. Pour une fois, je termine mon travail dans la ville voisine une bonne heure avant la fin de la journée.
• ...
... Je prends sur mes heures de récupération, Antoine.
• Pas de souci, bonne soirée à toi !
• Salut !
Travailler avec des collègues aussi souples de caractère, c’est une chance. Antoine est mon supérieur direct, mais c’est quelqu’un de très détendu. De plus, la qualité du travail que je fournis au quotidien depuis mon arrivée ici l’année dernière a eu tôt fait de me le mettre dans la poche.
C’est aussi grâce à mon travail acharné que je peux me permettre ce genre de largeur au niveau de mes horaires de travail.
Après un retour rapide sous un parapluie dégoulinant, une tasse de thé fumante m’attend devant un livre douillet. Alors que j’entame le second chapitre de cette comédie romantique, j’entends les pas de Pierre dans le couloir de l’immeuble. Il me vient alors une idée.
Espiègle, je range rapidement ma tasse et cours me cacher dans la grande penderie de notre chambre. Alors que j’entends la clé tourner dans la serrure, je referme rapidement la porte de la garde-robe devant mon nez. Je laisse tout juste un espace de quelques millimètres pour pouvoir observer la pièce sans être vue.
Mon ventre bout d’excitation, et je dois calmer ma respiration pour entendre mon compagnon retirer ses chaussures et parcourir l’appartement. Apparemment, il décide de se diriger vers la chambre. Pas étonnant, étant donné que son PC est dans cette pièce. Il passe une première fois dans mon champ de vision, un verre d’eau à la main. Le verre d’eau émet un bruit mat en rencontrant ...