1. Laure, ma copine de maternelle (1)


    Datte: 25/08/2018, Catégories: Hétéro Auteur: lipousics, Source: Xstory

    Voilà, je suis là, à genoux dans mon lit, le sexe planté comme un pieu au fond du vagin de Laure, je jouis comme jamais, je sens les pulsions de ma verge qui crache à tout va un sperme que je n’ai pas su ou voulu retenir. J’ai perdu la notion de moi-même, seule subsiste cette transe physique et mentale de l’orgasme. J’aurais voulu me retirer que je n’aurais pas pu, les jambes de Laura serrées si fort dans mon dos me retenaient en elle.
    
    Notre histoire a commencé il y a bien longtemps. Nous nous sommes connus sur les bancs de la maternelle, elle, petite et fluette, moi, plutôt grand, bien charpenté et un peu enveloppé. A l’époque, c’était mon grand amour de petit garçon, elle me charmait, ses manières de petite maîtresse de maison quand elle jouait à la dînette m’ont marqué à jamais. Elle aussi me suivait dans mes jeux de travaux mécaniques où mes jouets étaient, dans mon imaginaire, d’énormes grues, excavatrices et autres engins hyperpuissants.
    
    Mes parents mutés ailleurs, on s’est perdu de vue durant le CM 1
    
    Et maintenant, je l’ai retrouvée, je sortais du bâtiment de bureau où j’exerçais mon métier de conseil en placements financiers.
    
    Un contact brutal s’il en est, la tête ailleurs, je pousse la porte qui s’en va envoyer au sol une jeune femme, elle se retrouve par terre, sincèrement désolé, je me baisse pour l’aider à se relever et lui présenter mes excuses. Elle est blessée au front et au genou, elle rouspète entre ses dents, je l’aide à se relever en lui ...
    ... réitérant mes excuses, je la prends sous le bras et l’accompagne à la pharmacie toute proche.
    
    Pendant que le pharmacien la soigne, je tourne en rond dans les rayons de l’officine, tout en observant mon inconnue, je ne sais comment lui exprimer comment je suis désolé de ce fâcheux incident, son regard a éveillé en moi un sentiment de déjà vu, je suis navré, car elle semble très contrariée, elle marmonnait qu’elle allait manquer un rendez-vous.
    
    Soignée, j’ai réglé le pharmacien et lui ai proposé de la conduire à son rendez-vous. Là, elle me dit que maintenant, c’était trop tard. Je lui propose un verre pour se requinquer, elle accepte, en me fixant intensément. Là, j’en suis sûr, ce regard, je l’ai déjà vu.
    
    Voyant la possibilité de me racheter, je la conduis au bar du coin où j’ai mes habitudes. Installés à une table d’angle, derrière un paravent, on passe commande, engager la conversation n’est pas évident, après avoir renouvelé mes excuses, je me suis présenté Arsène... Entendant ce prénom, elle tique, me regarde avec attention et me coupe la parole elle s’exclame « vos yeux, ce prénom, j’ai eu un garçon en maternelle qui s’appelait comme ça, vous ne seriez pas Arsène Le Horla par hasard ? »
    
    Et la mémoire me revient, je m’exclame à mon tour « Laure, mon amoureuse de maternelle, c’est toi ? »
    
    Nous sommes restés estomaqués par ce hasard, nous sommes restés un long moment sans rien nous dire, puis la conversation a repris, nous nous sommes raconté brièvement nos parcours ...
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