Beau-papa et Co - Chapitre 4 : Christian et Mariko nous entraine en Asie.
Datte: 30/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Charime, Source: Hds
... voilà qui forcent mon cul d’une main pour me faire le passage. Yes, ça rentre et Mariko me donne son abricot à dévorer. Doublement enculée, je me délecte de cette moule odorante de son long voyage. Et là, complètement conne, je me dis que mon cul va déborder s’ils jouissent dans mon fion et ensemble. Et ils jouissent, mon cul débordent de foutre et là, mes deux hommes se mettent à me le bouffer de concert. Putain, ce qu’ils m’étonnent, ces deux lascars. Je sens leurs langues plonger dans mon fion, ma chatte, j’adore. Et je le clame en explosant une fois de plus. Mariko est ensuite prise à l’identique. La belle me hurle dans les oreilles et nos deux étalons la défoncent encore plus violement. Quand l’estomac de Christian hurle famine, c’est la débandade, on éclate de rire et cela se reproduit avec celui de mon Alain. Putain, c’est mon tour d’entendre mon ventre grogner et dieu sait si j’ai bien déjeuner pourtant. En anglais, par le téléphone, je nous commande de quoi nous remplir nos estomacs et nous redonner de l’énergie pour continuer. Une petite heure après, quatre personnes du palace débarquent poussant des chariots remplis de bonnes choses. Que du local nous assure celui qui semble être le chef. Il en est qui ne cesse de nous reluquer, Mariko et moi. Et pour cause, nous sommes en peignoir, rien de plus. Son coup de coude à son voisin et collègue est remarqué par ce cheffe qui lui fait les gros yeux. Quand il se retourne vers nous, le pan de nos peignoirs a glissé ...
... malencontreusement sur le côté, dévoilant nos intimités à ma Mariko et moi. Là, c’est à son tour de donner un léger coup de coude à celui qu’il fustigeait du regard. Un fou rire envahit le salon de la suite. Le pauvre, dépité, prend congé avec ses aides. Ce qui nous laisse à penser qu’il va y avoir distribution de savon.
Ma fois, la cuisine coréenne n’est de loin pas dégueu. Même si je ne sais pas toujours ce que je mange. Si quelque chose ne me plait pas, je me rabats sur la boisson, un petit alcool de derrière les fagots, un régale avec la fâcheuse envie de te saouler. Mariko et moi, on s’en boit deux bouteilles chacune et nous voilà complétement pompette. Heureusement, il n’y a pas de représentation ce soir, décalage horaire oblige. Nous nous endormons comme des soulardes, des pochtronnes.
En me levant, j’ai l’impression d’avoir bu dix fois plus. Et puis, j’ai dû ronfler comme une machine à vapeur, j’ai la bouche ensablée. Près de moi, Mariko ronfle encore. Je ne la réveille pas, pas la tête à foutre la merde. Un coup d’œil dans l’autre piaule, mes deux hommes dorment ensemble. Non, pas comme un couple, oh ! Bon, une douche, une aspirine et me revoilà pétant le feu. Je m’habille, pose un mot sur la table du salon et je sors prendre l’air. Je fais le tour de de ce palace, le quartier est un quartier d’affaire à voir le nombre d’enseignes de firmes internationales. Je me trouve un petit troquet sympa. Je me paie un déjeuner local et c’est juste excellent. Mon anglais un peu ...