1. Esclaves blanches


    Datte: 02/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byelko, Source: Literotica

    ... retourna sentant une masse se coller presque a elle. Faisant face à Amar, elle ouvrait la bouche pour protester quand elle reconnu Abdoulaye Amar dont son mari lui avait déjà beaucoup parlé lui disant que c'était un personnage influent de Dakar . Amar lui fit un grand sourire et lui pris la main et la baisa en se disant que bientôt il aimerait baiser beaucoup plus que la main de la charmante épouse de l'Ambassadeur Dubreuil.
    
    Pour le plus grand malheur de Madame Hélène Dubreuil, Abdoulaye Amar avait une autre activité à Dakar. Une activité plus secrète, plus clandestine, connu que de quelques rares initiés. Des blacks pour la plupart, peu de blancs. Amar organisait des soirées privées d'un genre très particuliers ou des femmes blanches, des expatriées, des épouses belles et distinguées de diplomates ou de chefs d'entreprise étaient livrées à des Sénégalais qui en faisaient littéralement leurs esclaves sexuelles pour toute la soirée. Amar repensa à sa dernière soirée qui remontait à un mois ou la très distinguée Lady Kate Harrington, l'épouse du Consul de Grande-Bretagne, avait été baisé comme une chienne par une dizaine de blacks la faisant gueuler sous les coups de pines de ses tourmenteurs. Il revoyait Lady Harrignton, à quatre pattes, en sueur, haletante, prise en levrette par un Sénégalais monté comme un âne qui la pilonnait comme un fou la tenant par les hanches. Ses gros seins ballottant dans tous les sens. Pour s'octroyer les faveurs de ces dames de la haute société ...
    ... qui n'aurait jamais daigné jeter un regard sur un black en tant normal, Monsieur Amar utilisait une drogue fabriqué par un marabout de sa connaissance, Kamaba, qui avait la particularité de désinhiber totalement les pulsions de la personne qui en prenait. Transformant la bourgeoise la plus coincée en salope la plus docile....
    
    Abdoulaye Amar relâcha la main d'Hélène Dubreuil plongeant son regard dans les yeux bleus pervenches de l'épouse de l'Ambassadeur. Il avait une autorité naturelle qui se dégageait de lui qui troubla et fascina Madame Dubreuil. Elle se sentit rougir sous le regard inquisiteur de Monsieur Amar.
    
    Je vois que votre coupe est vide, Chère madame, permettez moi d'aller vous en chercher une autre.
    
    Il n'attendit même pas la réponse et il se dirigea vers le buffet ou il prit une coupe de champagne. Il s'éloigna discrètement et versa le produit dans la coupe. Il revint vers Madame Dubreuil qui le remercia et but une petite gorgée sous le regard triomphant d'Abdoulaye Amar. Il n'y avait plus qu'a attendre....
    
    Hélène sentit les battement de son cœur s'accélérer. Elle avait chaud d'un coup, les mains moites. Et surtout, elle sentit une douce chaleur envahir son bas-ventre. Elle n'arrivait plus à quitter des yeux Monsieur Amar. Celui ci lui proposa de sortir dans le jardin de l'Ambassade et elle acceptât immédiatement. L'air frais lui fit un peu de bien et ils marchèrent tous les deux discutant de l'Afrique. Abdoulaye l'emmenait sournoisement dans le fond du ...