Prise de judo (1)
Datte: 29/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: EdOle, Source: Xstory
... donnent des frissons, j’aime ça. Je suce maintenant entièrement le sexe de Laurent qui me traite de tous les noms. Il se cabre tout à coup et un long jet de sperme vient s’étaler sur mon visage et ma poitrine.
Un homme m’a mis à quatre pattes et l’on m’a enlevé mon string. Je sens des doigts aller et venir dans ma chatte et mon anus, un mec qui devait se branler se vide tout à coup sur ma croupe tendue à tous ces hommes. Mes reins se cassent, je me cambre au maximum : on vient de me pénétrer. Je commence à gémir de plaisir. Je ne saisis plus rien de ce qui se passe autour de moi. Des hommes se masturbent devant moi, une nouvelle bite se fraie un chemin entre mes lèvres, je la suce donc sans me faire prier. Le sexe se vide dans ma bouche, je parviens à peine à avaler ce liquide trop abondant qui coule aux commissures de mes lèvres pour descendre en petits ruisseaux sur mes tétons tendus. Des vagues de foutre viennent me fouetter le visage et le dos encore et encore. Je ne suis plus qu’un corps-objet souillé de sperme, trésor de leur plaisir et de leur vice. Cette sensation me plaît. Je m’abandonne à eux.
Alors que les queues s’enchaînent dans ma gueule de petite chienne, on se retire de mon con.
Je sens un autre membre ...
... frotter mon petit trou. « Des trois orifices que dieu t’a donnés, dans le moins lisse, je décide de m’abandonner » chante Gainsbourg, cet homme se laisse tenter lui aussi. Je n’ai jamais été sodomisée. Je ressens une légère appréhension, mais très vite la chose m’excite : soumise sodomisée... Très vite, l’homme se décharge en moi et je sens, après qu’il se soit retiré, sa semence dégouliner de mon anus puis le long de mon petit minou. Une fois tout vidé, je m’étale sur le flanc vidé de toutes pensées, baignant dans une mare de sperme. Quelques-uns ont pris des photos et Laurent s’est penché pour me glisser à l’oreille, tout doucement :
— Lave-toi ma toute belle. Maintenant, on va en boîte.
La suite de la soirée s’est déroulée normalement. Certains auront bien essayé de tenter leur chance d’une façon plus courtoise, mais je n’avais pas encore retrouvé toute ma lucidité. Ce qui s’était passé dans les vestiaires m’avait bouleversée, je me sentais changée. En réalité, des barrières s’étaient brisées en moi, me laissant devant un grand vide à combler, la luxure. J’étais devenue une assoiffée de plaisir charnel. À partir de cet événement, je n’ai plus pensé qu’à cela. N’importe quelle situation devenait pour moi un vecteur d’excitation.