Chemins libertins (11)
Datte: 28/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jouissance62, Source: Xstory
... sa croupe contre mon bas-ventre, elle me fit comprendre que je pouvais continuer de la pourfendre sans complexe. Ma bite coulissait sans effort dans ce cul somptueux. Passant une main entre ses cuisses, je caressai sa chatte, entrant trois de mes doigts dans son vagin béant et complètement trempé. Je sentais à travers la fine paroi les mouvements de mon sexe planté dans son rectum.
Sortant ma bite de son corps, je me mis sur le dos et tenant ma queue bien droite, j’invitai Annick à venir s’y empaler. Celle-ci se redressa au-dessus de mon bas-ventre et lentement descendit jusqu’à ce que son anus trouve de lui-même le gland turgescent. Elle s’assit sur mon sexe en poussant un râle de plaisir et se renversa sur ma poitrine, exhibant ainsi son sexe gonflé par le plaisir. Joël et Célia voyant le tableau que nous formions nous imitèrent bientôt. Les deux femmes gémissaient de plus en plus fort, au fur et à mesure que la jouissance montait dans leur corps. Annick jouit la première, ma queue enfoncée jusqu’aux couilles dans son anus. Pour ma part, la jouissance ne m’avait pas encore fauché.
Célia se relevant, vint se placer entre les jambes d’Annick et lécha consciencieusement les filets de ...
... cyprine s’échappant de son vagin. Au contact de cette douce langue, le cul de la jeune femme se remit à bouger sur mon sexe. Joël, repoussant Célia, prit possession de l’entrejambe d’Annick. Sa queue tâtonna un moment à l’entrée de son vagin et lentement le pénétra de toute sa longueur, arrachant un véritable rugissement de plaisir à notre maîtresse consentante.
— Oh oui, c’est bon, c’est bon, continuez, plus vite, plus vite.
Célia, un instant abandonnée, se masturbait, deux doigts profondément enfoncés dans son cul, alors que les doigts de son autre main trituraient son clitoris gros comme un pois chiche. Notre folle cavalcade s’amplifiait. Annick, transportée comme un fétu de paille, s’abandonnait totalement aux deux sexes qui la ravageaient. Elle gémissait, criait, s’accrochait aux bras de Joël, les yeux révulsés par le plaisir. Nous étions tous les trois couverts de sueur, rendant ce coït encore plus sauvage. Quand enfin dans un sursaut de tout son être, Annick parvint au plaisir suprême, j’éclatai en elle de toute la force d’une jouissance longtemps refoulée. Joël nous rejoignit quelques instants plus tard et tous les trois nous basculâmes sur le côté, terrassés par le plaisir.