1. Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 9


    Datte: 25/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... brandit son doigt vers l’assistance en clamant :
    
    - Regardez ce qu’il lui a mis. Elle est pleine de foutre.
    
    Et sans attendre, il lui donne son doigt à sucer.
    
    - A qui le tour, lance-t-il ?
    
    Deux ombres bougent en même temps. Quand elle peut les distinguer dans la lumière, elle reconnaît le collègue de son mari chez qui elle a rencontré Louis, le beau-père. Celui-là même qui est son maître de cérémonie du moment. Elle se rend compte alors du chemin parcouru et ne peut s’empêcher de se réjouir de ce qu’elle est devenue maintenant. Une salope qui prend plaisir à s’exhiber, à exciter les hommes et à se faire prendre en dépit de toute prudence. Elle sait à ce moment qu’un retour vers ce qu’elle était sera impossible. Les sensations reçues sont marquées à jamais dans son subconscient. Elle aime la bite et veut jouir, jouir. Un des deux hommes la saisit sous les bras, l’autre, aux chevilles tous les deux la soulèvent.
    
    - Louis, dégage le dessus de ton bar !
    
    Délicatement, ils allongent la femme nue sur le zinc. Chantal frissonne au contact froid du métal. On lui soulève la tête pour la poser sur un petit coussin. Cette délicate attention la touche.
    
    Un des deux hommes passe derrière le bar, l’autre repousse le tabouret et vient tout contre le corps étendu.
    
    Des lèvres se posent sur la pointe d’un sein. Puis sur l’autre, une autre bouche. Ces baisers l’enivrent. Des frissons lui parcourent tout son être. Elle ne sait plus qui elle est et où elle se trouve. Elle se ...
    ... désincarne sous ces caresses. Deux mains s’emparent d’une jambe et effleure avec légèreté l’intérieur de ses cuisses. Du bout des doigts. Chaque main accompagne sa complice. C’est démonique ! Puis les doigts se font plus lourds, les caresses deviennent des massages. Une main se pose sur sa toison. Un doigts furette discrètement l’entrée de sa grotte. Elle se laisse emporter vers des rêves de jeunesse, quand ses propres doigts éveillaient de nouvelles sensations, qu’elle refreinait car elle imaginait qu’elles étaient interdites.
    
    Mais ici ces caresses, ces doigts la mènent vers la débauche des sens. Vers la jouissance. Ces débordements qu’elle appelle de toute son âme. Elle sent qu’elle se transforme, de femme frustrée, elle devient femelle épanouie dont les sens s’ouvrent à de nouveaux horizons.
    
    Et d’un seul coup, elle s’entend crier sans pudeur qu’on a prenne, qu’on la baise. Elle emploie ces mêmes mots crus qu’hier elle refoulait.
    
    Les deux hommes qui la caressent sentent qu’elle est chaude. Ils la prennent un aux chevilles, l’autre sous les bras. La lèvent et lentement la déposent à leurs pieds sur une table basse sur laquelle Louis vient d’étaler une couverture. Ses jambes et sa tête débordent. Chantal est juste au niveau des sexes de ses amants.
    
    Un des hommes se positionne à sa tête. Il la saisit sous le menton et lui tire le visage en arrière. Dans cette position, le cou en hyper-extension, elle offre sa bouche à la bite qui se présente. Le gland décalotté, ...