1. Weekend Lillois (1)


    Datte: 27/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Obedientsub83, Source: Xstory

    ... cul comme une salope, comme une chienne en chaleur. Je n’en reviens pas. Dire que jamais je n’ai eu le droit ne serait-ce que d’y mettre un doigt... Elle s’effondre sur le lit, harassée de jouissances. Maîtresse Delphine se place devant elle, la prend par les cheveux et plaque son visage contre son sexe.
    
    — Putain petite chienne, tu m’as vraiment excitée là ! Fais-moi jouir, bouffe-moi la chatte comme tu sais si bien le faire ma petite chienne d’amour.
    
    Et Laeti dévore littéralement son con, et Maîtresse Delphine crie son plaisir. Maître Paul, lui, est venu se placer juste à côté de moi et se caresse doucement en les regardant.
    
    — Putain, faut avouer, c’est quelque chose ta petite pute de femme !
    
    Il rejoint alors le duo, et pénètre ma femme, par surprise, elle lâche un hoquet étouffé par la chatte de notre Maîtresse. Maître Paul, rapidement accélère ses coups de reins et, alors que Maîtresse Delphine s’abandonne dans un grand cri de jouissance, le clito aspiré dans la bouche de ma femme au visage recouvert de son jus, Maître Paul se crispe et râle sourdement, il jouit dans la chatte de ma femme, et abondamment apparemment.
    
    Tous trois alors s’effondrent dans le lit, épuisés de jouissances. Puis Maîtresse Delphine se tourne vers moi et son regard s’attarde entre mes jambes, elle sourit, puis éclate de rire.
    
    — Mais regardez-moi ce petit cocu !!! il a aimé ça voir sa femme se faire défoncer comme une pute. Regardez, il a joui sans même pouvoir se toucher, et il ...
    ... en a mis partout ce petit cochon !
    
    Elle se lève alors et m’assène une paire de claques.
    
    — Sale chien, je ne t’ai pas permis de jouir !
    
    Je suis mortifié, je ne m’étais même pas rendu compte que je m’étais répandu. J’étais... complètement chamboulé, hypnotisé par la scène.
    
    — Je vais te détacher sale chien. Et pour te faire pardonner, tu vas faire exactement ce que je te dis.
    
    Maîtresse Delphine me libéra et me fit mettre à quatre pattes, me tirant par le collier, elle m’amena au pied du lit, face à Laeti, allongée sur le dos, qui embrassait Maître Paul.
    
    — Toi ma petite chienne d’amour, ouvre les cuisses, lui ordonna Maîtresse Delphine.
    
    Laeti s’exécuta en la regardant d’un regard interrogatif.
    
    — Toi, mauvais esclave désobéissant, nettoie sa chatte poisseuse, et avale tout !
    
    Je levai vers ma Maîtresse un regard implorant. Avaler du sperme ? Non... pitié ! C’est alors que Laeti prit la parole :
    
    — Oui mon Amour, vas-y lèche-moi bien et nettoie tout. S’il te plaît, ce serait merveilleux.
    
    Alors je fis ce qu’on m’ordonnait et collai ma bouche à sa chatte poisseuse, collante et dilatée, lapai, lécha, aspira, avala tout. Jusqu’à ce que son trou à bites si accueillant soit propre. Brillant de ma salive et non de foutre collant.
    
    Pendant ce temps, Laeti s’occupait de nettoyer la queue poisseuse de Maître Paul. Elle le léchait et suçait avec application et gourmandise. Je ne sais comment cela est possible, mais il ne tarda pas à retrouver de sa superbe. Il ...