Une Soumission Bourgeoise
Datte: 25/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byHortenseDLV, Source: Literotica
... J'avais essuyé ma mouille, m'étais lavée les mains et j'étais sortie de la salle de bain comme si de rien n'était.
Les jeux de drague avec le nouveau collaborateur s'étaient peu à peu transformés en une relation extra-conjugale. Je n'aimais pas coucher avec lui tant que ça. Il était un peu rustre, et je le trouvais assez intéressant, pas très cultivé, pas très intello, pas très galant. Pas très charmant en fait. Mais mon corps avait besoin de se sentir touché. Je me sentais plus vivante. Avec Stanislas, c'est comme si je disparaissais à petit feu. Le collaborateur du bureau avait pour habitude d'envoyer des sextos, ça l'excitait beaucoup. Quand je le rejoignais après une session de sexto, sa bite était déjà tendue, prête à l'emploi. Personnellement, je détestais les sextos, ils me mettaient mal à l'aise et ne m'excitaient pas tant que ça, mais je me prêtais au jeu. J'adorais sa bite, courte mais épaisse, exactement ce qu'il me fallait. Les sextos étaient un faible prix à payer.
Il y a quelques semaines, ce qui devait arriver, arriva, malheureusement. Évidemment, j'avais toujours pris le plus grand soin à effacer tous ses textos, que ce soient des sextos ou non, et j'avais pris toutes les précautions nécessaires, à mon sens, de désynchroniser les iMessages de mon iPhone d'avec les autres appareils de la maison. J'avais oublié un vieil iPad qui marchait à peine et que je n'avais pas fait recharger depuis des mois, qui était rangé dans un tiroir du bureau de notre ...
... chambre. Pendant que j'étais au bureau, Stanislas l'avait fait recharger pour le laisser à notre fils de quatre ans, afin qu'il puisse faire un jeu éducatif dessus, lassé de lui prêter son propre iPhone, qu'il salissait avec ses doigts d'enfant. Une fois chargé, des centaines de messages s'étaient affichés. C'était le début de la fin.
Ce soir là, j'étais rentrée tard du bureau. Les enfants étaient couchés. Stanislas m'attendait, assis au bord du lit, avec l'iPad à côté de lui. À son visage, j'ai tout de suite compris qu'il savait. Je n'ai pas su quoi dire. Mon coeur battait la chamade. Allait-il me quitter?
- En fait, tu es une vraie petite salope, me dit-il, assez froidement mais avec un ton presque curieux. J'aurais dû m'en douter un peu. Mais à ce point...
Je déglutis difficilement. Je ne savais toujours pas quoi dire.
- À avoir découvert ça plus tôt, notre vie sexuelle aurait été plus intéressante.
Il m'avait regardée droit dans les yeux.
- Tu ne me touches plus depuis un an, osai-je dire.
- Je sais, admit Stanislas. Tu l'aimes la bite de ce mec dis-donc. Autant que la mienne?
Étonnée, je dis que oui, que je l'aimais lui aussi, mais que j'avais besoin d'affection, comme tout le monde.
- Excuse moi Lorraine, mais là ce n'est pas de l'affection que te donnait ton collaborateur, c'est juste du cul.
Une fois de plus je ne savais pas quoi répondre. Je me sentais stupide, plantée devant lui, attendant une sentence qu'il prenait un malin plaisir à faire ...