1. Magaluf, des vacances inoubliables. (1)


    Datte: 25/08/2018, Catégories: Hétéro Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory

    ... J’étais dans un autre monde parmi les fumigènes et les néons et abasourdie par la musique. Mon corps répondit positivement à ces attouchements. En jetant un œil autour de moi, je me rendais compte que d’autres femmes affichaient elles aussi leurs seins et que je n’étais pas la seule à me faire peloter.
    
    Et quand il poussa sur mes fesses, je ne pouvais que sentir l’érection de mon cavalier.
    
    La bête était largement excitée, coincée dans l’étroit pantalon de son possesseur. Sans y réfléchir et poussée par l’intrigue, j’y posai une main. Mes doigts sentirent la masse de chair gonflée sous le tissu et lentement, j’usai de douces mais provocantes caresses au travers du pantalon. Comprendre que je touchais là le sexe d’un inconnu me rendit toute chose. Des attouchements qui devinrent, je l’avoue de plus en plus prononcés, à la limite de la masturbation indirecte. Il apprécia clairement l’attention et me sentait des plus réceptives. Alors il abandonna ma poitrine et déboutonna son pantalon…
    
    Avec l’une de ses mains, il guida la mienne sur la bête ainsi libérée. Je la touchai du bout des doigts, ressentis la peau de cette hampe dressée sans vraiment me rendre conte de ce que je faisais. A présent, j’avais entre mes doigts son sexe tendu, dur et dressé comme un I. Ressentir son chibre serré entre mes doigts m’électrisa et le sentir palpiter me rendit folle. Instinctivement, je me suis activée à de rapides mouvements de poignet.
    
    Que pouvais-je faire d’autre ? C’était devenu ...
    ... une masturbation en règle avec la ferme intention éhontée de le faire venir. Je l’entendis grogner. Il semblait bien apprécier ce petit plaisir que je lui offrais.
    
    Je me suis retournée. Face à face, je voyais enfin mon fougueux cavalier. C’était bien le bad-boys de tout à l’heure, je n’ai même pas jeté un œil à la bite que je branlais toujours de toute sa longueur. M’empoignant délicatement par le cou, il m’embrassa et nos lèvres se joignirent à plusieurs reprises dans de tendre baisers, il m’embrassa sur le cou, m’enivra de plaisir pendant que ma main continuait à lentement branler sa queue.
    
    Je commençai à mouiller sévère, mon corps débordait d’exaltation et mon cerveau était imbibé d’alcool. Inconsciemment, je me suis mise à m’accroupir, explorant en coulissant le long de son corps son torse puis ses abdos avec mes doigts et mes lèvres. Monsieur était visiblement un adepte de la musculation, ce qui me plaisait d’autant plus. Et à force de descendre, il ne me fallut pas longtemps pour toucher du bout de mes lèvres le gland violacé de son sexe, y déposer de doux baisers et le lécher du bout de ma langue. Et il me fallut encore moins de temps pour y engloutir lentement ce sexe au goût si prononcé entre mes lèvres accueillante.
    
    Mes lèvres coulissèrent sur sa hampe et je sentis cette masse de chair glisser sur ma langue. Je me suis mise à le sucer, lentement, me délectant de ce bel engin propre et bien rasé. Accroupie au milieu d’une foule de danseurs alcoolisés hurlant ...
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