-
Jeune et curieux (6)
Datte: 20/09/2022, Catégories: Gay Auteur: ifonchier, Source: Xstory
... ma tête. Je revois les images des magazines de Guy. Je me branle, c’est plus fort que moi, j’en ai trop envie. Je gémis tellement que Guy se réveille et rallume la lumière. Je le regarde en me branlant et lui dit que j’ai envie de jouir. Il attrape ma queue et m’arrête. Il me regarde et me dit: Pas comme ça. Un bouffeur de sperme comme toi, ça ne se branle pas de cette manière. Je ne comprends pas ce qu’il veut dire, je suis assez interrogatif et cela doit se lire dans mon regard. Guy vient entre mes jambes et les attrape derrière mes genoux. Il lève mes jambes et les place sur ses épaules. Il tire mon bassin vers lui. Il n’a pas de mal à manipuler le petit mec de 19 ans que je suis. Il pousse mes jambes vers l’avant et me maintient ainsi. Je suis recroquevillé sur moi-même et Guy accentue ce mouvement inconfortable. Quand je vois mon sexe au dessus de mon visage, je comprends. Guy me contemple d’au dessus, il est calé derrière moi, il me stabilise. Il commence à me branler doucement. Il appuie fort sur ma bite de manière à faire ruisseler une goutte qui vient ...
... s’écraser au coin de mes lèvres. Instinctivement, je lèche. Il continue à de me branler doucement. Il me pousse un peu le dos. Ma langue touche mon gland. La position est très inconfortable mais terriblement excitante pour moi. Il me branle plus vite. J’ai envie de jouir mais n’y arrive pas. Mon anus se contractant sur le plug m’empêche d’éjaculer. Guy accélère ses mouvements et fait aussi bouger le plug dans mon cul. D’un coup, j’ai l’impression que mon anus se déchire. Je suis partagé entre douleur et plaisir. Tout mon corps est pris de spasmes et ma bouche est inondée d’une grosse quantité de sperme chaud qui n’en finit pas de couler. J’avale tout tant bien que mal et Guy me relâche. Il se lève, retourne à sa place et se couche. Je trouve une position plus confortable et m’endors très vite. Le reste de la nuit se déroule normalement et je me réveille vers 10h. Guy n’est plus là. Je vais à la cuisine, personne. Un mot sur la table : « Je suis parti faire deux ou trois petits achats. Merci pour cette nuit. À partir d’aujourd’hui, à la maison, tu vivras nu 24h sur 24. »