1. Changement de Mentalité


    Datte: 17/09/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... être le plus lourd et le plus grand.
    
    Des larmes me brûlent les yeux tandis que la peur me traverse et me fait frissonner.
    
    - S'il vous plaît, ne faites pas ça!
    
    Ma voix est toute frêle. L'homme rigole, se penche pour mettre ses doigts dans ma chevelure. Puis il se lève rapidement en me sortant d lit par les cheveux. La douleur traverse mon crâne et je crie comme un animal blessé.
    
    L'homme continue de rire en me tirant vers la petite table se trouvant près de la fenêtre. Il s'agit d'un meuble typique des motels. Je trébuche et j'agite les bras pour retrouver mon équilibre. L'homme me pousse en travers de la table, de façon que ma tête et mes seins pendent d'un côté, mon cul et mes jambes de l'autre côté. Il lâche mes cheveux alors que je tombe durement sur la surface en bois. Puis il saisit immédiatement mes bras pour les tirer en arrière.
    
    - Tu es prêt? Dit-il.
    
    - Ouais! Répond l'autre.
    
    Des menottes cliquettent alors qu'on les bloque autour de mes poignets. L'autre homme passe rapidement une corde autour de mes coudes pour tirer mes épaules en arrière, ce qui lève mes seins. Je ressens encore plus de douleur dans mes articulations qui essaient de résister à ce traitement. Les larmes coulent maintenant sur mes joues.
    
    - S'il vous plaît... Ne le faites pas.
    
    Le plus grand me gifle et dit :
    
    - Tais-toi salope! Tu aurais dû garder ton chemisier tout à l'heure. Je crois qu'il n'y a pas un seul homme vivant qui ne voudrait pas être ici.u
    
    Je gémis. Ils ont ...
    ... dû nous voir en voiture et nous suivre. Oh Carmen!
    
    L'homme se place devant moi et sort un grand couteau d'une gaine sur son mollet. C'est un grand couteau de chasse. La lame étincelle sous le peu de lumière provenant de la salle de bain. Il presse la pointe contre un mamelon et je sursaute.
    
    Il se penche sur moi, et dit dune voix basse et régulière :
    
    - Ne fais rien! Ne te défends pas! Ne crie pas! Ne mords pas! Tu comprends?
    
    Il presse la pointe un peu plus fort, irradiant ma poitrine de douleur. J'hoche la tête, tellement crispée de peur que je ne peux pas parler.
    
    - Bien!
    
    Il remet le couteau dans sa gaine et je pousse un soupir de soulagement. C'est éphémère, car des mains derrière moi attrapent une cheville puis l'autre pour les attacher aux deux pieds opposés de la table et ainsi écarter mes jambes. La voix joyeuse de son partenaire dit derrière moi :
    
    - Voilà une salope prête à baiser!
    
    - Maintenant. D'abord nous puis toi.
    
    Sa déclaration me laisse confuse, mais ça ne dure qu'un moment. Le plus grand devant moi ouvre son pantalon et sort une bite tellement gorgée de sang qu'elle semble avoir vingt-cinq centimètres de long et être épaisse comme mon poignet. Mes yeux s'écarquillent alors qu'il attrape mes cheveux pour relever ma tête. En réflexe, ma bouche s'ouvre et il pousse sa queue entre mes lèvres.
    
    J'étouffe et je vomis presque alors que son gland touche le fond de ma gorge.
    
    - Suce salope! Ordonne-t-il.
    
    J'essaie en bougeant ma langue. Il ...