1. S'il vous plaît Maître (1)


    Datte: 15/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Thrùd, Source: Xstory

    ... Maître, laissez-moi jouir. Mes jambes se mettent à trembler et ma respiration devient saccadée. Je vous sens heureux dans mon dos et votre main droite se fait encore plus présente. Votre main gauche me plaque contre votre torse et je sens un raz de marée de plaisir m’envahir. Puis votre voix résonne à mon oreille. Un simple mot. Un simple ordre. Jouis. Et je cède au plaisir qui déferle en moi. Je jouis pour vous Maître et votre main gauche en profite pour m’arracher les pinces tétons, ce qui me fait jouir de plus belle. Je me répands dans votre main et je vous entends grogner de plaisir. Il ne reste que mes mains accrochées derrière votre nuque pour me garder debout. Je ne tiens plus et m’écroule sur vous. Vous me gardez contre vous pendant que vous détachez mes mains et massez mes épaules.
    
    Je ne suis plus réellement consciente de ce qui m’arrive et je me laisse porter par vos mains, vos baisers et vos mots doux.
    
    Je ne suis plus qu’une poupée sans volonté dans vos bras et vous me déplacez délicatement alors que je me laisse porter par le plaisir qui pulse encore dans mes veines. Vous me retournez et je sens une surface froide et dure dans mon dos. Vous accrochez mes poignets au-dessus de ma tête et je sens enfin le bois de la croix commencer à mordre mes chairs. Oh s’il vous plaît Maître, ne reprenez pas tout depuis le début. Mes chevilles se retrouvent elles aussi attachées à la croix et je suis nue, exposée et sans défense devant vous. Vous me regardez et je sais que ...
    ... vous appréciez ça. Votre langue frôle vos dents, vos mains caressent timidement mon corps. Chaque contact m’électrise et je ne peux que supplier pour que vous m’en donniez plus. Mais à chaque fois, vous retirez vos mains, vous me délaissez, vous m’abandonnez alors que j’ai besoin de vous. Puis vous vous éloignez d’un pas avant de marquer une pause, comme si vous admiriez un tableau inachevé.
    
    Et comme le peintre qui compose sa toile, vous réfléchissez à ce qui pourrait compléter mon supplice.
    
    Et vous trouvez la pièce qui manque alors que je vous demande, encore une fois, de vous occuper de moi. Vous sortez un bâillon boule de votre sac et me le mettez en bouche avant de fanfaronner que maintenant, je ne peux plus rien contre vous. Comme si je le voulais. Comme si l’idée de vous dire non m’avait traversé l’esprit un seul instant. Vous continuez de m’observer alors que je ne peux que gémir de manière étouffée. Vous défaites votre ceinture lentement et venez me caresser tout doucement avec. Le frottement du cuir contre ma peau équivaut à une morsure tellement je veux jouir, tellement je veux céder au plaisir qui gronde en moi depuis longtemps. Puis vous posez la ceinture et dégrafez votre pantalon. Il tombe le long de vos jambes alors que vous me regardez droit dans les yeux. Votre caleçon suit le parcours de votre pantalon et vous êtes enfin nu devant moi. Oh Maître, que j’aime ça. Mais à mon grand déplaisir, vous n’avez pas fini de jouer avec moi.
    
    Alors que je ne pense ...
«12...5678»