Amazonie 3 (6)
Datte: 14/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory
... humains rendant la vie très difficile partout…
Ces explorations m’avaient choquée, j’en fis une dépression et dus faire plusieurs mois de psychothérapie avec la psychiatre attachée au service**. Je n’avais plus envie de visiter de tels mondes, je préférais finalement m’intéresser aux souvenirs passés des personnes disparues. Il y avait moins de risques aussi de provoquer une divergence historique, étant juste dans la tête et le corps de ceux et celles que je visitais. Mélanie, coquine, me dit qu’elle avait récupéré d’autres objets de son arrière grand-mère et que vu ce que j’avais vécu au premier que j’avais touché, les autres seraient peut-être du même tonneau. Je lui souris. Après tout, elle avait sans doute raison.
Parmi les affaires de l’arrière-grand-mère de Mélanie se trouvait un collier avec des clous, ressemblant à un modèle destiné aux chiens. Se pourrait-il que son aïeule ait eu des pratiques SM ? Je touchai l’objet…
Mon hôte était attachée debout, jambes écartées, bras relevés au dessus de la tête. Ses yeux ne voyaient rien et sa bouche était obstruée par ce qui devait être un bâillon. Le corps que j’occupai devant vraisemblablement être entravé sur une croix de Saint André, dos contre l’instrument. J’entendais des voix autour de moi. Une caresse subtile commença bientôt sur les lèvres de mon sexe. Je devais être nue, sentant toutefois mes jambes gainées et ma taille serrée. Je devais porter un serre-taille avec des jarretelles. Ma chatte mouillait sous ...
... les effleurement de ce qui devait être une plume. Cela dura un certain temps puis l’objet remonta pour aller titiller la pointe de mes seins. Je sentis le souffle d’une bouche s’approcher de ma vulve, puis une langue vint continuer l’œuvre inachevée. Lorsque la jouissance monta dans le corps, j’étais bien évidemment aux premières loges.On me détacha et toujours aveugle du fait du bandeau que j’avais sur les yeux, je fis quelques mètres avant que le haut de mes cuisses ne rencontre une surface qui ressemblait à du cuir. On me fit me pencher en avant, mon ventre touchant la même matière. Mon cou rencontra une surface courbe capitonnée et mes mains rejoignirent deux alvéoles identiques à quelques centimètres de ma tête. Quelque chose se rabattit sur mes mains et mon cou, les emprisonnant. Ce devait être un carcan. Mes jambes furent écartées et les chevilles attachées au sol. On me retira le bâillon. Je ne voyais toujours pas mes tourmenteurs. Si je sentis bientôt une bite chercher à me pénétrer la chatte par derrière, ce fut une vulve qui rencontra ma bouche. Je ne faisais qu’un avec ce corps, bien qu’étant toujours moi-même.Je prenais un plaisir fou, léchant cette chatte parfumée qui s’offrait à moi alors que le reste du corps de mon hôte ondulait sous la pénétration de cette bite que je n’avais pas vue mais qui devait être de taille très respectable. J’eus un second orgasme et la bite sur retira pour éjaculer sur le haut de ma croupe. Une bite remplaça alors la chatte que je ...