1. Trajet vers chez les beaux-parents (1)


    Datte: 14/09/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Eden_R, Source: Xstory

    ... entre et sort. Je tente de retenir un gémissement qui s’échappe tout de même.
    
    Je suis forcée de lui faire retirer ma source de plaisir pour trouver une meilleure position. Obligation m’est faite de retirer mon pantalon. Il va me gêner et compliquer la suite du programme. A peine ai-je le temps de relever les fesses pour m’agenouiller sur les sièges, que monsieur m’a déjà remis un doigt. Il s’active. C’est si bon.
    
    Sa langue vient remplacer son doigt. Le changement me fait gémir. Nos bruits vont attirer l’attention des passagers des voitures voisines. Monsieur est dans l’allée centrale avec mes jambes qui l’encadrent, mes fesses collées à son visage et je me trémousse pour qu’il me donne toujours plus de plaisir. La situation m’excite.
    
    Sa bouche me délaisse. Je ne suis que gémissement quand enfin, je le sens se frotter à mes lèvres. Je me fiche de la vitesse lente du train, des habitations en bordure de voie. Je le veux là, tout de suite. Aucune importance si une personne nous regarde depuis la porte vitrée du wagon. Je le laisse se caresser sur moi. J’attends le bon moment pour m’empaler sur lui. Mes chaires s’étirent sur son passage. Il hoquette devant cette initiative. Il m’agrippe la poitrine pour venir au plus profond de moi. C’est si bon de se sentir remplie par lui.
    
    Il me besogne comme jamais jusqu’à lors. Nous sommes en nage. Nous émettons autant de bruit l’un que l’autre. Mes bras cèdent. Je me retrouve maintenue par lui, le reste du corps allant et ...
    ... venant sur les sièges. Plus, je veux plus.
    
    Le rythme s’accélère. Il ne va plus tenir très longtemps. Je contracte mes muscles par intermittence. Je sais qu’il adore ça, que ça le rend fou. Tellement, qu’il me retourne habilement. Il me redresse. Je dois m’accrocher à son cou pour ne pas tomber. Je me contracte, d’autant plus que le mouvement m’a prise par surprise. Il grogne. Je continue mon jeu pour notre plus grand bonheur.
    
    Le rythme commence à redescendre. Les mouvements se font plus amples. J’en profite pour lui dévorer les lèvres comme je peux. Je n’en peux plus. C’est tellement bon. Mon cri est étouffé, alors qu’il me donne ses derniers coups de reins et tout son sperme.
    
    Nous nous écroulons sur les sièges les plus proches. Monsieur m’écrase. J’ai du mal à respirer. Je l’embrasse tendrement. Nos membres sont emmêlés. Il reste en moi, le temps de se reprendre.
    
    — Quand tu veux, tu n’es pas aussi timide que cela”, me susurre-t-il à l’oreille, avant de me la mordiller.
    
    Il semblerait qu’il n’ait pas envie de quitter ma chaleur.
    
    — Accroche-toi.”
    
    C’est le seul avertissement qu’il me donne avant de nous redresser. Je constate alors que nous sommes dans l’allée centrale, exposés à tout voyageur qui regarderait par les portes des wagons. Monsieur n’est pas aussi exposé que moi aux regards. Il possède toujours son haut, son boxer et son pantalon couvre à moitié ses fesses que j’aime tant. Par contre moi... J’ai mon débardeur sur les hanches, ainsi que mon ...