Confession d’une femme au foyer 04
Datte: 12/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... faire des courses sans bas ou collants. Mais une fois, quand je me suis penchée, j'avais gardé mes collant mais j'avais enlevé ma culotte. J'avais vérifié dans un miroir ce qu'il pouvait voir d'une fenêtre des maisons d'à côté. Je n'étais pas assez courageuse pour me mettre complètement nue sous ma robe. J'avais aussi l'habitude de pincer mes tétons pour qu'ils pointent. Tu as remarqué que j'avais acheté des hauts très serrés et des chemisiers très fins pour montrer ma poitrine. J'étais excitée à attendre leur apparition. Parfois je me caressais devant le miroir de la chambre, et au moment de sortir, j'avais envie de sexe.
- Donc tu n'avais pas de culotte quand ils regardaient par-dessus la clôture?
- Oui quelques fois, mais j'avais mes collants. Je leur tournais le dos et je me penchais le plus possible. S'il te plaît, fais quelque chose pour moi, embrasse-moi.
Je lui obéis, elle était très passionnée.
- Continue! Dis-je en m'écartant.
Je lui versai un grand verre pour la détendre.
- Eh bien un jour, je leur parlais par-dessus la clôture en les laissant admirer ma poitrine quand Bob me dit que j'étais trop belle. Sans vraiment réfléchir, je leur demandai s'il voulait prendre une tasse de café. Je pensais seulement à lui. Donc une fois à la maison, j'ai défait un bouton de mon chemisier et j'ai pincé très fort mes tétons. Mon soutien-gorge était transparent. Lorsque la porte s'ouvrit, ils sont entrés tous les trois.
- Tu espérais que Bob te baise ...
... alors?
- Oui je suppose. J'étais excitée en le regardant. Je me demandai à quoi ressemblait sa queue jusqu'au jour où il la sortit de son pantalon. L'histoire de l'eau coupée n'est pas vraie. C'est moi qui les ai invités. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu la bite d'un autre homme et cette pensée m'excitait.
- Mais tu en as vu d'autres? Même après notre mariage?
- Oui parfois ça arrivait et je ne pouvais pas résister à cette chance. Pour en revenir aux ouvriers, ils ne pouvaient pas me quitter des yeux, surtout quand je m'asseyais et que je laissais ma jupe remonter. La suite, tu la connais déjà. Un jour, je m'assis sur leurs genoux et je les laissai aller plus loin. Ils étaient très timides à sortit leur bite et me toucher devant les autres alors parfois je montais avec un dans notre lit. Et quand je redescendais, parfois, je n'avais plus de soutien-gorge ou culotte. Et parfois un autre homme remontait avec moi.
Je lui verse un autre verre et je lui demande :
- Et qu'as-tu fait sur le lit?
- Parfois ils s'allongeaient sur le lit puis me tripotaient pendant que je les branlais. Ou ils enlevaient leur jean et leur caleçon, et me déshabillait...
Elle regarda le sol et continua :
- Je les laissais me baiser ou je les suçais.
- Ont-ils joui dans ta bouche?
Elle acquiesça.
- Dis-moi, est-ce qu'ils t'ont déjà pris en levrette?
- Oui parfois. Murmura-t-elle.
- Tu t'es agenouillée et mise à quatre pattes sur le lit?
- Oui, ou alors debout et ...