1. Série textes en commun, Olga et le docteur, chapitre 4, La maison de campagne


    Datte: 11/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... tu es impatient ! lui souffla-t-elle, mais au fond impatiente elle aussi d'être fouillée dans ses profondeurs.
    
    Et Joseph se mit à creuser avec vigueur, les yeux dans ceux d'Olga comme pour vérifier le plaisir qu'elle prenait à sa pénétration.
    
    En face, l'autre couple avait assisté un peu stupéfait à cette copulation aussi rapide que frénétique. Ce n'était certes pas la première fois que Philippe voyait sa femme baiser avec un autre homme mais la voir planter ses ongles dans les fesses de son partenaire lui était pourtant comme une nouvelle révélation. Bon dieu qu'elle aimait le cul ! Il sortit de sa fascination quand Karine lui glissa à l'oreille :
    
    • Qu'est-ce qu'on attend pour en faire autant ?
    
    A peine eut-elle prononcé ces mots qu'elle se releva, se débarrassa de sa robe et apparut à Philippe dans toute sa nudité de fausse maigre, à la fois mince et charnue là où il faut. Poussant son avantage, elle déshabilla elle-même son visiteur encore assis et, sans transition, vint s'empaler sur lui, face non à son amant mais au couple déjà bien engagé dans sa fornication. Tout en dansant sur la bite de Philippe, pieds au sol, Karine ne manquait rien du spectacle sexuel offert par Joseph et Olga alors que Philippe était pour ce faire obligé de tourner la tête sur le côté, tout en matant le cul somptueux de Karine. Laquelle lança à son mari entre deux halètements :
    
    • Tu pourrais au moins finir de te déshabiller, ça fait un peu rustaud, ce pantalon sur les ...
    ... chevilles.
    
    Joseph se le tint pour dit et se retira pour se mettre nu, Olga se débarrassant en même temps définitivement de sa robe. C'est elle qui prit l'initiative de la posture suivante. Karine la défiait par sa manière d'imposer le pal vaginal à son mari. Elle fit asseoir Joseph sur le canapé et adopta rigoureusement la même attitude que son hôtesse. Et c'est ainsi que les deux femmes se firent face, tressautant sur la bite de leur amant provisoire, tantôt la tête rejetée en arrière, tantôt penchées en avant, les mains sur les genoux de l'homme, exhibant en se relevant d'une pression des cuisses la bite tendue qui les honorait avant, en se laissant retomber, de l'engloutir dans leurs tréfonds, et ce à un rythme soutenu ponctué par leurs soupirs de plaisir.
    
    • Elle est bonne, hein, la queue de mon mari, petite salope ! s'exclama Olga.
    
    • Comme celle du mien, à t'entendre gueuler ! répondit Karine tout de go.
    
    En s'excitant ainsi mutuellement, tant par la voix que par la vue, les deux brunes ne tardèrent pas à atteindre l'orgasme. Olga se cabra la première et eut le réflexe de comprimer la queue de Joseph pour qu'il n'explose pas prématurément en elle car elle le sentait de plus en plus pointu. Plus maitre de lui, Philippe trouva les ressources pour retenir son sperme bien que le cul virevoltant de Karine avait tout pour le faire lâcher prise.
    
    Puis les deux femmes basculèrent sur le côté, pas mécontentes de soulager leurs cuisses de la pression mais déjà apaisées par ce premier ...
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