1. Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 18


    Datte: 10/09/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycinolas, Source: Literotica

    ... campagne profonde ! J'ai même du mal à saisir ce que Paul fait au milieu de cette troupe de .. allez je vais rester polie.
    
    J'ai la mauvaise surprise au dessert de voir Paul ressortir le collier de cuir rouge. Il me le met sans attendre une quelconque approbation de ma part et y accroche la laisse. Il me débarrasse ensuite de ma blouse et de mes bottes, me laissant terminer le repas dans cette sobre et humiliante tenue !
    
    Alors que les jumeaux vaquent à la vaisselle, nous sortons de la maison avec Alexandre. Paul me tient en laisse, je suis à quatre pattes, le rouge aux joues. Je ne m'y ferai jamais à cette posture dégradante et avilissante à souhait. Je crois que c'est l'humiliation extrême pour moi d'être considérée comme un animal de compagnie ! Être rabaissée dans cette position à ses pieds met à chaque fois une claque à mon ego.
    
    Nous traversons la cour pour rejoindre la fourgonnette d'Alexandre. Paul me fait prendre place à l'arrière où je vais m'asseoir sur un bout de couverture traînant au fond. Patou le poutou nous a rejoints et grimpe également en ma compagnie. Il vient, en guise de bonjour, me tartiner la fribouille d'une langue bien baveuse et s'allonger ensuite contre moi.
    
    Le stress commence à monter, Paul n'a lâché aucune info sur le lieu de notre déplacement et vêtue uniquement de mon collier et de ma laisse je me vois mal arrivée en terre inconnue. Aventurière parfois, téméraire jamais ... Heureusement le voyage n'est pas long, une dizaine de ...
    ... minutes plus tard, il vient ouvrir la porte du véhicule et je suis presque soulagée en sortant de reconnaître la cour de la ferme d'Albert.
    
    En descendant du véhicule, Paul reprend sans attendre la laisse pour m'empêcher de me soustraire à l'accueil de l'immense dogue allemand qui vient me renifler l'arrière-train. l'odeur de lieu ne doit pas être sans lui déplaire, car il y fourre sa truffe à plusieurs reprise avant de lui donner quelques coups de langue râpeuse.
    
    Nous rejoignons Albert dans son salon où quelques tasses sont déjà de sortie pour ses hôtes, la cafetière fumante posée à côté de la bouteille de gnôle et une assiette de gâteaux secs en guise de bienvenue. J'y ai le droit également à son café de cow-boy, mais dans une gamelle au pied de la table ! Paul l'a arrosé abondamment du tord-boyau d'Albert en me précisant que c'était pour mon bien et que j'allais en avoir besoin !
    
    Dès mes premières lampées, son décapant pour grande personne se rappelle à mon souvenir, c'est une véritable boisson gps, de celles que l'on suit aisément tout au long du trajet après l'avoir avalée !
    
    Il ne tarde pas à me mettre les neurones en vadrouillent et je n'ai pas encore fini mon auge que les premières bouffées de chaleur font leur apparition.
    
    Pendant ce temps, Paul et les deux paysans conversent à bâton rompu, Albert lui explique son amour pour l'élevage canin et pour la race des Grand Bouvier Suisse en particulier. Voilà déjà environ une quinzaine d'années qu'il élève, en toute ...
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