Incarcération en Prison
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byTortuegeniale, Source: Literotica
... et que les détenues s'y habituent très vite, les femmes prisonnières ne peuvent rien cacher ici, et qu'elles useront de la force en cas de refus de coopérer de ma part.
La gardienne Padilla est très impressionnante, noire, grande, elle devait faire un bon 1.85 m pour au moins 80 kilos, que puis je faire face à elle avec mon 1.64 m et mes 55 kilos!? Elle a de larges épaules et à l'air d'avoir maté beaucoup de rebelles, il ne faut pas trop jouer la maligne avec elle.
L'autre surveillante est blonde, elle s'appelle Johnson Elizabeth, on l'appelle "Betty", elle a l'air froide et dure, blonde au cheveux court, 1.70 m, pour une soixante de kilos, elle reste plus costaud que moi et ressemble à une lesbienne très autoritaire. Elles portent toutes deux des uniforme de type militaire et des bottes, des rangers. Johnson tient toujours une matraque.
Par fierté sans doute mal placée vue la situation, je tente de protester. Mal m'en prit! Betty me donne quelques coups de matraques sur les fesses, pas spécialement fort, mais suffisamment intense pour me faire comprendre que devant cette redoutable épreuve, je n'ai pas d'autre choix que l'obéissance, car je sais qu'ils utiliseront la force et n'hésiteront pas à découper mes vêtements.
Je cède et me déshabille, je commence par y retirer mon hijab, que je portais lors de mon arrestation, je suis pas très très pratiquante, mais je respecte les traditions et les us et coutumes des Arabes, mon voile fait partie de ma culture et de ...
... mon identité et c'est la raison pour laquelle je le porte. Les gardiennes n'aiment pas du tout ce type de tenue jugées "obscurantiste", "sexiste" et elles m'avertissent qu'en prison ce n'est pas autorisé.
Elles me font aussi défaire mes longs cheveux noirs et ondulés, je dois donner mon élastique et ma barrette.
Puis j'enlève mes chaussures, une paire de tennis blanche de marque américaine et je passe à ma veste que je dépose sur la table, puis j'enlève mon abaya, une robe traditionnelle arabe noire avec des motifs colorés et décorés que je porte quand je suis dans mon pays.
"Tu n'es pas mal" me dit it la surveillante Jenny Padilla, je ne comprend pas pourquoi vous les femmes arabes et musulmanes ne vous montrez pas à un peu avec des vêtements plus osés serrés et court car tu es vachement canon, enfin ici tu apprendre à mettre ta pudeur de côté, retire maintenant le reste on t'a dit de tout poser sur la table, tout!
"La gardienne Padilla me dit "Tu sais en Amérique et plus précisément dans cette prison, nous accueillons des femmes de toutes origines : caucasienne, des hispanique, des afro-américaines, des asiatiques et quelques moyen orientale comme toi, et de toute religion (Chrétienne, juives musulmanes, boudhistes, shintoïstes, hindouistes, athées et.) "qu'elles passent toutes à poil devant nous sans aucune pudeur." Ce n'est pas facile d'être en petite tenue, mais devoir se présenter toute nue est affreux.
J'ai toujours des sous-vêtements sexy en dentelle, ...