Sagesse (6)
Datte: 09/09/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Gerald93, Source: Xstory
Après quelques secondes qui me parurent interminables, il m’attrapa enfin par les hanches, m’attira un peu plus à lui. Il m’embrassa le ventre, les seins, le haut de mon shorty… et tout ce que sa bouche pouvait atteindre en restant assis.
Quand il s’agenouilla devant moi, le souvenir de son merveilleux cunni me revint. Je l’attendais en fait, inconsciemment je l’espérais, je le voulais… je l’exigeais maintenant ! Il mit son nez, puis sa bouche sur ma culotte. Je sentais son souffle à travers le tissu. Habituellement passive, je me surprenais à avoir mis mes mains sur sa tête pour mieux me la coller entre les cuisses. Même si ces lèvres là ne savent pas articuler, mon sexe appelait une caresse, si possible une langue, tout de suite !
Pourtant, il prit son temps. Il continuait son bécotage méthodique de mes cuisses et de mon ventre. Puis me fit me retourner pour faire de même sur mes fesses. Et enfin, il fit glisser mon shorty et ce fut comme une délivrance. J’avais envie d’être nue, j’avais envie d’avoir le cul et la chatte à l’air devant lui. Il frotta son visage sur mon cul, embrassa mes grosses joues charnues et tenta de fourrer son nez, puis sa langur dans mon sillon. A cette heure avancée de la journée, je n’ai pas souhaité que cette exploration aille plus loin. Je me suis retournée et ses caresses introspectives se sont enfin dirigées vers mon triangle fraichement tondu. Après quelques bisous et quelques lechouilles, je sentis une réel soulagement quand sa ...
... langue parcourut enfin mes grandes lèvres. J’avais l’impression d’être en feu et que seule sa bouche pouvait m’apaiser. Il me prit ensuite par les hanches et me tourna vers le canapé. Mais il me conduisit vers l’extrémité. Dans la pénombre, je n’ai pas compris la manœuvre, jusqu’à ce que mon cul roule sur l’accoudoir et que mon corps bascule. Le bassin plus haut que le reste, une jambe sur le dossier, j’étais plus qu’offerte. Il n’avait plus qu’à me déguster. Et il ne s’est pas gêné pour le faire.
Il m’a dévoré la chatte avec méthode et dévouement. Des broute-minou comme-ça, je vous souhaite toutes d’en profiter un jour. Mais c’est quand il ajouté un doigt, puis un second que lentement, je me suis sentie partir.
Lorsque j’ai rouverts les yeux, j’étais allongée par terre, sur le tapis, cuisses sérées. Je ne me souvenais pas être tombée du sofa. Mon corps ne se rappelait d’aucune douleur de chute. Il me regardait, satisfait de m’avoir portée au septième ciel, encore une fois. Je le regardais finir de se déshabiller. A cet instant, j’aurais voulu qu’il s’allonge à mes cotés pour m’endormir dans ses bras. Avant qu’il ne retire son slip, j’ai aperçu son diable qui dépassait. Il bandait encore. Ou devrai-je dire, bandait toujours. Lorsque j’ai voulu lui attrapé la queue pour « mesurer » la puissance de son désir, il s’est éloigné et m’a dit
- Ne bouge pas je reviens.
Comme si j’avais l’intention de m’enfuir. Dans cette courte attente, j’ai réalisé que Je commençais à avoir ...