1. Vingt ans après


    Datte: 08/09/2022, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, dominatio, Auteur: La chatte à deux pattes, Source: Revebebe

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    Elle aime ces mots crus qui rendent sa chatte humide. Elle se retourne, il ne porte plus que son boxer. Dans l’une de ses mains, la ceinture de cuir, dans l’autre, un plug anal.
    
    Elle se dresse sur la pointe des pieds pour l’embrasser, se coller contre son torse. Il veut goûter ses seins, pétrir ses fesses. Mais très vite, il en veut plus, il veut la goûter, elle. Il la bascule sur le lit, et sa bouche glisse doucement jusqu’à sa chatte trempée. Elle plaque ses mains sur sa tête, son sexe reconnaît sa langue. Elle se cambre de nouveau, avide de plaisir. Il plante deux doigts dans sa chatte gluante :
    
    — Ta chatte est chaude, je veux te voir trempée, bouge sur mes doigts, lui intime-t-il. Oui, plus vite, oui, profond, allez, montre-moi que tu la veux ma queue, ma petite salope.
    
    Elle accélère le rythme, la respiration saccadée, ses mouvements de plus en plus amples pour engloutir ces doigts qui la fouillent.
    
    — C’est bien, chauffe-toi, ma main te baise, dit-il en se redressant, et maintenant suce le plug, suce-le bien.
    
    Il retire sa main de sa chatte. Elle veut protester, mais il maintient le plug dans sa bouche et glisse un doigt couvert de mouille dans son cul. Elle s’immobilise, autour de ce doigt qui assouplit son sphincter.
    
    — Voilà, c’est ça, donne-moi le plug, tu es prête.
    
    Et, sans attendre, il enfonce lentement le plug.
    
    — Et maintenant, viens me sucer, montre-moi ce que tu as appris en vingt ans, ma petite salope.
    
    Elle ne peut s’empêcher de ...
    ... sourire. Si le plug l’emmène vers des sensations plus inédites, reprendre sa queue en bouche réveille des vieux souvenirs encore bien nets. Comme cette pipe, une nuit sous un porche en pleine ville, tous les deux incapables de se retenir. Elle veut surtout revoir la courbure de son sexe, comme un crochet, avoir les mâchoires étirées par cette queue épaisse et longue. Elle le fixe en faisant glisser son boxer puis déplace ses yeux et ses mains sur son sexe durci et un peu luisant. Elle tourne sa langue autour du gland et, enfin, le gobe. Il est là, massif, rigide. Elle le couvre de salive avant de le branler, la main douce, mais ferme. Quand elle remonte, elle aspire le gland, joue avec sa langue. Elle lui imprime son rythme. Elle amplifie, elle serre plus fermement.
    
    — Ah, ma belle pute, prends-la bien, lâche-t-il. Vas-y, bouffe ma queue.
    
    Elle s’arrête de nouveau sur le gland, le titille. Et, là, défiant son regard, elle enfonce son pieu au plus profond. Il voit sa queue tout entière absorbée, il ferme ses yeux et se concentre sur son plaisir.
    
    — Ah, suce-moi bien, appuie-t-il. C’est bon de te baiser la bouche.
    
    Elle se laisse écarteler par ce sexe puissant, qui la possède. Elle est là pour lui, pour lui obéir. Elle sent ses mains qui lui imposent un tempo régulier, soutenu, ses mâchoires en deviennent douloureuses, mais sa chatte mouille encore plus de se savoir ainsi utilisée. Elle veut être sa salope, celle qui effacera toutes les autres. Brusquement, il retire son ...