1. Une chute de vélo (9)


    Datte: 06/09/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Mandrakke, Source: Xstory

    ... dit le contraire. Cette fille était capable de me faire bander si rapidement, si intensément, si durablement et si fréquemment que j’en arrivais encore à douter de cette réalité. Je n’étais pas un don juan ou un séducteur, loin de là, j’avais déjà connu plusieurs filles dans ma vie, mais aucune ne lui arrivait à la cheville, que ce soit du côté sentimental, comme du côté sexuel.
    
    Mes tétons étaient à la limite entre le plaisir et la douleur tellement ils étaient durs et sensibles sous sa bouche. Ses mains qui se promenaient sur mon dos et quelquefois sur mes cuisses commençaient à passer sous mon short vers mes fesses. Je sentais avec plaisir ses mains douces sur ma peau. Elle fit demi-tour, me tournant le dos et se plaquant à moi, relevant la tête sur le côté pour quérir un baiser. Je l’enlaçais de mes bras, une main sur un sein, l’autre lui caressant le ventre pour faire monter son désir. Son bassin remuait gentiment, massant mon sexe de ses fesses que seul le tissu de mon short séparait encore. Ses bras s’enroulèrent autour de moi pour me caresser le bas du dos alors que je lui embrassais le cou. Ses mains quittèrent mon dos pour aller à l’intérieur de mes cuisses, cherchant à retirer mon short pour se frayer un chemin vers mon sexe. Je l’ai aidée, me soulevant un peu et mes fesses se retrouvèrent rapidement nues. Elle se tortilla encore un peu sur moi et mon short se retrouva au sol.
    
    Sans perdre un instant, elle me massa le sexe avec une sensualité telle que je fus ...
    ... envahi par une bouffée de bonheur intense. Je sentis d’un côté, sa main et ses doigts parcourir chaque once de ma queue en la plaquant contre son sexe déjà ruisselant de désir. Son bassin ondulait dans tous les sens le long de ma verge tendue et ainsi prisonnière de ses cuisses, de ses mains et son sexe. Je pouvais sentir ses lèvres de chaque côté de mon sexe et son clitoris sur mon gland. Son bassin montait de plus en plus haut à l’assaut de mon bâton, jusqu’à ce qu’il entre facilement en elle. Nous gémissions de concert, savourant les sensations ainsi procurées et partagées.
    
    Après une courte pause, Julie reprit ses mouvements. Elle avait raison, c’est elle qui me faisait l’amour, doucement, sensuellement. Elle commandait la manœuvre et j’adorais ce qu’elle me faisait, et encore plus, la façon dont elle le faisait. Ses mouvements étaient lents, doux, précis, sa main était ferme sur mon sexe l’empêchant de sortir du sien. Mes mains continuaient de malaxer ses seins, les quittant de temps en temps pour lui caresser les côtes, les cuisses et le ventre et faire un passage ou deux sur son clitoris, pour la faire gémir un peu plus avant de repartir sur sa poitrine ou son cou que je couvrais de baisers fougueux. Elle mouillait abondamment et continuellement, arrosant copieusement mes couilles qu’elle massait fermement, mais sans aucune douleur.
    
    Cette sensation particulière, ce plaisir qu’elle m’a distillé patiemment et sans compter, alors que j’étais globalement passif à ce ...
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