Sylvette et Gérard (1)
Datte: 05/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: esperluette, Source: Xstory
... l’impression que c’est volontaire et qu’elle me fait un numéro de charme, car de mon côté je sens Popaul commencer à se manifester, le bouquet c’est quand elle s’accroupit pour ramasser les balayures, face à moi, les cuisses écartées, je n’ai plus aucun doute sur ses desseins. Je pense à Gérard qui ne se doute de rien !
Dimanche, je n’ai vu personne, ils devaient être sortis, quoique je ne les guettais pas.
Le téléphone n’arrête pas de sonner, me tirant de mon sommeil, qui peut bien m’appeler à cette heure, il fait encore nuit, voyons, on est lundi, il est cinq heures.
Je m’extirpe de mon lit tout chaud et je décroche.
— Allô Bernard, c’est Sylvette, votre porte est fermée ? Vous pouvez m’ouvrir ?
— Oui, Sylvette, qu’est ce qui se passe ?
— Ouvrez moi, je vous le dirai.
— Oui, bien sûr, j’y vais.
Je vais ouvrir la porte en pyjama, je me demande ce qu’elle veut.
Elle entre, elle est en peignoir, elle me saute dessus.
— je n’en peux plus, il y a trop longtemps que j’ai envie de toi, prends moi maintenant !
Elle fait glisser son peignoir, elle a juste une nuisette sur le corps qui cache à peine son petit trésor, je glisse ma main entre ses cuisses, elle n’a même pas de culotte. Je vois qu’elle est complètement épilée. Je lui fouille le con avec deux doigts, elle est trempée. Aussitôt elle me prend le sexe dans mon pyjama d’une main, de l’autre elle me prend par le cou et elle m’embrasse. Elle n’a pas de mal à me faire bander car j’avais déjà ...
... la trique quand elle m’a réveillé.
Je ne cherche pas à réfléchir, elle me veut, elle va m’avoir !
Je fais tomber mon pyjama, je l’adosse au mur et je l’enfile aussitôt, ma bite la pénètre jusqu’au fond.
— Ahhhhhhhhh ! Ouiiiii ! Vas y !
Je commence à la ramoner, elle gémit à chaque coup de reins que je lui donne.
Elle accroche ses bras autour de mon cou et elle vient nouer ses jambes autour de mes reins, je la baise sauvagement debout puis je la soulève par les fesses, je me redresse et je la porte vers la chambre toujours bien emmanché.
Nous nous vautrons sur le lit qui proteste sous le choc et je continue de la baiser durement. Elle couine de plus en plus fort, je vois dans ses yeux le plaisir monter, elle jouit dans un grand cri tandis que j’éjacule de nombreuses giclées au fond de son vagin.
Je fais encore quelques va et vient plus lentement tout en l’embrassant puis nous nous désunissons pour reprendre notre souffle. Nous avons chaud et nous finissons de nous déshabiller après cette baise sauvage.
Nous restons côte à côte un moment sans bouger.
— Et Gérard ?
— Il est parti travailler, il est posté du matin cette semaine.
— Il est au courant ?
— On en a parlé, il est d’accord.
— Explique moi. Il n’est pas jaloux ?
— Bon, on est un peu en crise en ce moment et nos rapports sont espacés, Gérard n’est pas un foudre de guerre et il a parfois du mal à me satisfaire. Puis nous avons fait ta connaissance et il a remarqué que j’avais une ...