Une relation inattendue mais intense (1)
Datte: 04/09/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
... niveau de la braguette et du bouton ouvert.
J’insérais rapidement mes doigts entre sa peau et sa culotte... Elle était trempée ! Je jubilais intérieurement. L’idée qu’elle mouillait me donna le sourire, je me sentais triomphant. Ma bite était tendue au maximum. J’avais de plus en plus envie d’elle. Il fallait absolument que je lui fasse l’amour là tout de suite !
Puisque je me sentais triomphant, je n’avais plus aucun scrupule, plus aucune retenue. Mes doigts s’avancèrent vers sa petite chatte chaude et humide, je laissais mon majeur frotter le bout de ses grosses lèvres. Elle ne s’y opposait pas, elle se laissait faire, tout en m’embrassant.
Je couvrais sa chatte de ma main et la caressais avec de plus en plus de vigueur. Mes doigts furent vite recouverts de sa mouille et mon majeur s’inséra tout doucement dans ce trou chaud, doux et accueillant. Je commençais quelques va-et-vient et ajoutai ensuite mon index.
Je la branlais de mon index et majeur avec vigueur. Aélis haletait de plus en plus en souriant. Ah oui, elle aimait ça.
C’était enfin le moment d’enlever son short et sa culotte pour enfin m’introduire en elle... Mais nous avons été interrompus.
Une voiture avait quitté la route et s’était garée derrière nous. Aélis se redressa en sursaut et se rhabilla en quatrième vitesse. Elle attrapa ma main et me dit « allons ailleurs ».
Après cinq ou dix minutes de marche. Nous sommes arrivés devant une grande maison : chez elle. "Mes parents ne sont pas ...
... là".
Nous sommes entrés. A peine la porte fermée, elle reprit ma main et m’entraîna à l’étage.
Elle me conduisit dans une grande chambre. Il n’y avait pas de lit, mais un grand espace au milieu et un grand placard dans le mur. D’un côté, un bureau et fauteuil, de l’autre, un grand canapé. La chambre était mansardée. Et la seule ouverture sur l’extérieur était un velux.
Il y avait une pendule au mur. L’heure m’indiqua que nous avions passé une bonne heure dans le bosquet...
Aélis m’entraîna vers le canapé. A peine assis, je me remis à bander de plus belle, gêné par mon jean. Aélis prit mes mains et les posa sur ses cuisses. Puis, du bout des doigts, toucha mes joues pour m’attirer délicatement à elle pour un baiser passionné.
Je repris mes caresses, mais plus rapidement et plus intensément. Nous avions été interrompus et je voulais reprendre où on en était !
Je ne pensais qu’à m’introduire en elle ! Sentir sa chatte brûlante sur mon pieu. J’avais tellement envie... C’était dingue.
Pendant qu’elle m’embrassait, je posais une main sur son ventre, l’autre dans son dos, et appuyait de deux côtés de façon à lui faire comprendre que je voulais la retourner. Elle ne se fit pas prier, et se remit dos à moi, comme dans le bosquet.
Je lui enlevais son top et elle s’empressa de jeter son sous-tif au sol. Je repris quelques caresses rapides et vigoureuses. Après quelques secondes seulement, elle soupira à nouveau.
Encouragé, je déboutonnais son minishort et ouvris ...