La bourgeoise et le marabout (54)
Datte: 04/09/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... sens son gland qui joue avec le fin tissu de mon string. Ses mains me caressent le dos, jouent avec mes tétons qui se durcissent, descendent sur mes flans puis mes cuisses et jouent avec les larges jarretelles de mon serre-taille. J’ai la tête enfoncée dans les coussins de velours et j’écarte encore plus grand le compas de mes jambes pour que sa queue puis remonter loin vers mon pubis et son gland presque atteindre mon nombril.
Au son de la télé, je comprends que la bourgeoise doit être en train de se faire prendre. C’est le signal que mon jeune amant d’un soir devait attendre. D’un doigt agile, il écarte le fin tissu et son gland vient au contact de ma chatte. Trop impatiente ou trop en manque, je donne un coup de bassin vers l’arrière et son gros gourdin me pénètre. Mais il reprend vite l’initiative en me saisissant bien aux hanches et en m’interdisant tous mouvements.
Tout en me besognant avec force, il me dit.
— Au premier regard, j’ai vu que vous étiez une salope et aviez besoin d’une bonne queue.
Je lui réponds avec une voix de chatte.
— Oui je suis une salope, une vraie pute en chaleur. Mon mari ne me baise plus et là j’avais besoin d’être bien baisée.
Il poursuit.
— Tu sembles aimer les grosses queues, vous êtes toutes les mêmes vous les bourgeoises du XVIème.
Je lui confirme.
— Oui, sous nos airs de bourgeoise et de grenouilles de bénitier, nous sommes toutes en manque. Nos hommes ne sont pas vraiment des étalons et avec l’âge, ils ...
... fatiguent vite.
Seydou accélère la cadence, me besogne de plus en plus fort, se retire entièrement de ma chatte pour mieux s’y réintroduire ensuite. Ses bourses cognent contre mes fesses, ils me pincent les tétons, et me mordille dans le cou. Je ne suis plus qu’une pouliche qui se fait saillir et j’en redemande.
Soudain Youssef se retire et pointe son gland vers mon petit cul. Il me demande.
— Et ton mari, il t’encule de temps en temps ?
Pour l’exciter encore plus, je lui dissimule la vérité en mentant.
— Non, pas par là, je suis trop serrée et ta queue est bien trop grosse. !
Il rigole et me répond.
— T’inquiète pas ! Je vais y aller doucement et je suis sûr que tu vas apprécier.
Je joue à bien serrer les fesses comme si je voulais lui interdire l’entrée, mais il est plus fort que moi. Lentement, son gland se fraye un chemin dans ma raie que je cherche à interdire. Il me serre plus fort à la taille et commence de légers mouvements de va et vient.
Voulant jouer mon rôle du mieux possible, je crie.
— Non, tu vas m’éventrer. Je t’en supplie, arrête.
Il me répond.
— Montre-moi que tu es une vraie salope. Tu vas voir, bientôt tu vas en redemander.
Je continue à gémir comme s’il me faisait mal.
— Non, aie, tu me fais mal !
Il fait comme s’il ne m’entendait pas et continue sa lente progression. Le voilà maintenant tout en moi, il se niche bien au fond, s’immobilise et me dit.
— Tu vois, ton petit cul a tout pris ! Maintenant, je vais bien ...