L'aventure d'un soir entre autres (5)
Datte: 04/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: mysterwolf, Source: Xstory
Me souvenant d’avoir promis d’emmener Aurélie déjeuner dimanche, je ne me couchais pas trop tard.
Bien reposé, je me lève de bonne heure et passe chez le boulanger pour agrémenter mon petit-déjeuner. Je prends le reste de la matinée pour me préparer tranquillement. Aurélie n’étant jamais ponctuelle, je ne lui fixe plus d’heure, je vais chez elle et la force à se dépêcher.
En chemin, un doute m’assaille, mais je le balaie en quelques secondes. Elle ne pouvait pas avoir oublié après m’avoir supplié de l’amener au restaurant toute la soirée. Je me gare et dirige vers l’entrée remplie des souvenirs agréables de l’avant-veille.
Je frappe à la porte dans un vain espoir. Au moment où je vais sonner, j’essaye de tourner la poignée. Aurélie est une experte en « non-fermeture » de porte.
Bingo !
Je passe la porte et referme consciencieusement :
— AUR...
Là, j’entends la douche couler.
Miracle, elle ne sera peut-être pas trop en retard...
Je me dirige dans la cuisine pour aller boire un peu d’eau.
Tiens ? Plus de bruit dans la salle de bain ! Elle devait être en train de finir.
Elle sort en criant « j’arrive ! ». Alors que je m’apprête à sortir de la cuisine pour lui dire bonjour.
Je la vois trottiner vers les escaliers, se trémoussant nue, ses magnifiques fesses marbrées de rouge. Elle tient à la main des espèces de lanières noires et grimpe prestement les escaliers. Je l’entraperçois se dirigeant vers sa chambre : laissant apparaître, surlignant ...
... des lèvres gorgées de plaisir, son petit cœur pubien et ses seins adorables ballottant de gauche à droite. Elle disparaît.
Trois questions me viennent à l’esprit :
elle a oublié notre rendez-vous, elle devait être bien alcoolisée !
Qu’est-ce que c’est que ces lanières ?
Et pourquoi je la trouve aussi bandante ?
Seul mon entrejambe réagit à ce merveilleux spectacle. J’ai même failli m’étouffer avec l’eau que j’avais oublié d’avaler.
Je monte la prévenir que nous repoussons le déjeuner. Arrivé sur le pas de sa porte entrouverte, je prends conscience que ce n’est pas à moi qu’elle a dit « j’arrive » car elle n’est pas seule !
Et en quelques secondes tout bascule : je pousse la porte, un homme est à ses genoux en train de vérifier un harnais, elle me fait face, me voit, manque de laisser échapper un cri d’étonnement, rougit et puis sourit de plaisir.
Elle regarde son amant, sa propre nudité clairement affichée, lève les yeux sur moi et son sourire se fait carnassier et sensuel. D’un geste rapide et le plus discret possible, elle me fait comprendre de refermer la porte et m’indique son paravent japonais. Pour une raison que j’ignore encore à ce jour, je m’exécute.
Je pousse la porte et me glisse derrière l’abri fragile, dont les ajours permettent la contemplation. Le sourire d’Aurélie est radieux tandis que son homme s’assure qu’elle ne souffre pas dans sa tenue.
Pourquoi suis-je ici ?
Oui je me souviens, adolescent, d’avoir essayé de surprendre ma ...