1. Complexe vaincu 4


    Datte: 24/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... douleur de ma déchirure, par les gémissements éhontés qui précèdent les orgasmes orageux, les tempêtes fulgurantes tout au bout de la galerie dans ma grotte brutalisée, inondée de foutre avant le feu d’artifice, avant l‘anéantissement par les éclairs éblouissants de l‘acte abouti. Je serre mon poing fermé entre mes cuisses et je m’endors en rêvant d’un monstrueux corps caverneux lové dans ma caverne dévastée. Abel. J’aime ta force, ta puissance, tes excès, tes ravages.
    
    Jeudi. je mesure d’un coup d’œil la tringle dure de Joseph déshabillé. C’ est un compromis entre Robert et Abel. Sa verge a des dimensions honnêtes, elle est assez longue, pas trop épaisse et sans prépuce, conséquence d’une circoncision religieuse. Le maître chanteur trouve seul pour sa bite dure et droite le chemin de ma cheminée. Il se précipite, dans mon entonnoir, m’administre sans s’en rendre compte la preuve d’une grande expérience des unions de sexes. Il évite le piège de l’éjaculation précoce que laissait craindre son emballement initial, il s’aide des doigts sur mon clitoris. Mon bouton d’amour est plus à l’aise avec lui qu’avec le braquemart écrasant d’Abel. Avec Joseph tout est plus leste, plus vif, plus proche du style emporté de Robert lorsqu’il était plus amoureux, lorsqu’aucune ride ne barrait son front, lorsque j’étais folle de lui, avant Abel, Abel, Abel
    
    - Je ne m’appelle pas Abel, je suis Joseph. Ho, Simone. Ha ! Tu jouis et le plaisir te fait délirer. Qui c’est Abel ? Robert, tu le ...
    ... confonds aussi avec Abel quand il te fait jouir ? Abel,C’est le type de l’hôtel ? Dis, tu as vraiment joui, tu ne simules pas, jure-le ?
    
    -Je crois, je …
    
    - Ah! Tu n’en es pas certaine. Il faut que je recommence. Écarte, ouvre avec tes doigts, je pointe et vlan…j’y retourne.
    
    Il lime avec appétit, me bouffe le museau avec goinfrerie, me secoue comme un prunier, me retourne comme une crêpe, s’immobilise loin dans l’orifice, trouve les terminaisons nerveuses qui me fichent des frissons. Je lui inspire une fringale, il bouffe ma chatte, modèle et triture mes « nichons de salope », mêle l’élégant et le vulgaire. Sa langue passe du minou à ma rose pour « une feuille de rose » délicieuse. Sur le dos, à quatre pattes ou en papillon, il me prend, reprend. Il caresse, il pince, il suce et il rame comme un damné. Et il commente sans pudeur :
    
    - Dis, je te tronche bien ? Dis, c’est comme ça qu’il faut fourrer, tu me sens bien ? Tu es heureuse??? Tu jouis. Ah! Salope, prends ça, je gicle… c’est bon, tiens.
    
    J’avoue que c’est un virtuose, je suis la bonne pâte, il me façonne et ça me plaît. Il s’est foutu de moi en me proposant d‘apprécier son savoir faire et ses bijoux de famille. C’est un champion chevronné de la levrette ou de la brouette japonaise. Je lui donnerai son brevet de baiseur avec la mention très bien. Je réserve « excellent » à Abel à cause de ses dimensions exceptionnelles, plus que pour sa vivacité. Si Brigitte est insensible ce n’est pas de la faute de son mari ...