La mascotte de léquipe de rugby se tape un couple. (3)
Datte: 03/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... puissants, je râle de plaisir, de douleur aussi sous une fessées et des mots crus qui accompagnent son action et me font perdre la notion du temps.
Vivien se fout de moi, me traitant de sainte-nitouche qui ne sait pas ce qui est bon. Furieuse, je lui rétorque :
-Je voudrais bien t’y voir, toi ! Et d’ailleurs, pourquoi-pas ? Je te mets au défi de faire comme moi, de te faire casser le cul par cette espèce de morpion monté comme un âne. Je suis sûre que tu n’oseras-pas !
Je l’ai pris de court, il est piégé et s’il ne veut pas passer pour une poule mouillée, il va devoir y passer… Mais il lui faut quand même un long moment avant de répondre.
-C’est à ton tour de me mettre au défi ? Je ne suis pas un PD mais il ne sera pas dit que je refuse ce que toi tu acceptes, et on dirait même que ça te plait, salope !
Vivien se met à coté de moi, Patrice décule, me permettant de préparer le trou identique chez les hommes et les femmes avec une bonne couche de lubrifiant et mes doigts inquisiteurs. Patrice me regarde faire, se branlant lentement pour entretenir son érection. Quand je considère que Vivien est près, j’attrape la queue de Patrice comme je tiendrais un chien en laisse et le guide vers l’anneau fripé de Vivien. Je ...
... passe l’engin entre ses fesses pour en graisser le gland puis je me recule pour profiter du spectacle.
L’image est saisissante. On dirait un basset qui essaie de sauter un doberman ! Le contraste entre le corps assez fluet de Patrice et celui, massif de Vivien est bizarre, anormal. Je vois Vivien serrer les dents quand Patrice, les mains sur les hanches de Vivien, donne un coup de reins, faisant disparaître son gland massif et quelques centimètres de son gourdin dans le fondement de son comparse.
On dirait un père qui porte son jeune fils sur son dos, mais le fils en question a planté son chibre au plus profond du paternel. Maintenant Patrice s’active sans plus aucune précaution entre les fesses de Vivien qui grogne comme un Chartier :
-Putain de salaud, tu pourrais y aller plus doucement ! Comment peux-tu aimer ça Eva ? C’est atroce !
On voit que Vivien n’a pas ma longue expérience… Mais comme pour moi, Patrice ne tient pas compte des récriminations de sa « victime » et continue de le troncher avec vigueur, s’accrochant comme un morpion aux couilles et résistant aux ruades de Vivien pour ne pas choir de ce mustang fougueux et musclé presque deux fois plus lourd que lui, tel un cow-boy dans un rodéo.
A suivre…