Thérapie familiale (45) - Histoires de Sexe

Thérapie familiale (45)

... cadet sur ses hanches, sans qu’elle se rappelle à quel moment, sauront l’arrêter avant que les deux glands ne se désemmanchent. Car dans la position qu’elle a adoptée elle est obligée de bouger lentement, ce qui ne semble pas déranger ses deux partenaires.

Le fait de ne pas pouvoir aller plus vite même si elle le voudrait, permet à la petite belette d’analyser la situation. Si son vagin bien que restant serré ce qui doit plaisamment stimuler le plus jeune de ses partenaires, s’est rapidement adapté aux dimensions hors normes de ce dernier, son anus par contre, est plus long à s’accoutumer aux proportions pratiquement identiques de celui du plus âgé des deux. Même si comme elle l’a constaté amusée, il a craché dessus de manière à apporter la lubrification naturelle qui leur faisait défaut avec de la salive.

Mais la douleur qu’elle a ressentie au départ est comme elle l’avait prévu restée supportable, et elle s’atténue peu à peu pour être remplacée par du plaisir, au fur et à mesure que sa rondelle s’adapte à ses nouvelles dimensions tandis qu’elle fait coulisser les deux membres en elle. Allant même jusqu’à retrouver de sa souplesse d’origine. Cerise sur le gâteau, dans la position qu’elle a adoptée ses tétons frottent en permanence contre le ventre de Théo, ce qui les agace dans un mélange d’irritation et de stimulation supplémentaires, et augmente ses sensations tout en les délocalisant en partie.

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Jade serait bien incapable de dire depuis combien de temps dure ...

... leur partie à trois. Bien que ce soit elle qui fournisse tout le travail elle ne ressent aucune fatigue ni même de lassitude, et ses partenaires ne montrent pas non plus d’impatience comme s’ils avaient toute la journée devant eux. Elle suppose que ses deux fourreaux de chair si différents et en même temps complémentaires, l’un étant resté relativement sec et l’autre s’étant peu à peu inondé de mouille, remplissent parfaitement leur fonction.

Car ce qu’elle sait par contre c’est que son plaisir a lentement et progressivement monté en puissance, ce qui s’est manifesté pour elle par de petits geignements qui pourraient passer pour plaintifs, tandis que les deux pistons continuaient à coulisser en elle toujours au même rythme. Tout en étant collés l’un contre l’autre sans jamais se toucher. Et vu qu’elle n’est plus à présent très loin de la jouissance, elle présume que ce doit être également le cas des deux bergers.

Toutefois elle prend toujours son temps, non seulement parce qu’elle pense qu’elle n’a guère le choix, mais en plus si elle en avait la possibilité, elle ferait durer ces moments de pur bonheur une éternité pour ensuite en mourir d’extase. C’est la raison pour laquelle elle est surprise lorsque Théo sans crier gare explose le premier en poussant un petit grognement, et qu’elle sent ses jets de sperme jaillir en elle. Mais son dépit est de courte durée car elle ne tarde pas elle aussi à être emportée par un orgasme, si puissant qu’il la laisse quelques instants ...