1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1543)


    Datte: 01/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1541) -
    
    Chapitre 14 : Une inscription indélébile -
    
    Elle était en train d’enfiler un gode-ceinture pour venir m’enculer sur cette table… Il n’y avait pas d’autres termes, ce gode-ceinture, long et large me défonçait le cul, besognait mon anus, labourait mes entrailles, ravageait mon antre sans aucun ménagement, avec force et profondément jusqu’à la garde. Madame Marie ne semblait avoir aucune indulgence, aucune mansuétude. Elle me claquait sadiquement les fesses de ses mains tout en me les pinçant violement et me les griffant de ses ongles saillants, au passage, sur ma peau meurtrie. Et tout en me sommant d’ouvrir mon trou de salope en me précisant qu’il était bon pour moi d’ameublir mes chairs ainsi, avec un morceau de latex en forme de bite, pour mieux apprécier, le moment venu, une bonne et grosse queue, une vraie, bien juteuse et bien crémeuse. Il était révolu ce temps où j’adorais noyer mon désir fébrile dans la saveur d’un sexe, sentir un gland se poser sur ma rondelle quelque peu résistante puis apprécier ce membre glissant peu à peu entre mes fesses, dans l’intimité, la complicité, l’émotion bouillonnante de l’autre, un sexe viril s’insinuant, s’imposant, s’installant, s’engouffrant… jusqu’à la butée des couilles sur mes fesses… être assis sur cette rigidité immobile, bien empalé ! … Là, avec la cuisinière, impossible de contracter mes muscles, de les ...
    ... desserrer, les relâcher, les enserrer encore, j’étais simplement baisé et enculé sauvagement, sans désir réciproque, sans plaisir, sans poésie, seulement dans l’abandon et la toute-puissance de cette femme dominatrice, perverse er sadique. Seule chose qui me transcendait, l’aliénation, celle-ci m’emportait vers le total anéantissement, je m’en réjouissais. Celui qui allait me sauver de ces ruades incessantes, invasives et dévastatrices était Monsieur le Marquis ! Dès lors qu’Il entrait dans cette pièce, la cuisinière interrompait net ces activités perverses me laissant sur cette table, sans plus aucune consistance, les yeux rougis par l’effort et la contrainte, l’anus béant et à l’agonie.
    
    - Est-ce que l’esclav’alex a su te satisfaire, ma chère Marie ?
    
    - Bof ! Je ne l’ai pas assez malmené, cette petite pute… Ce chien mériterai d’être enculé toute la nuit ainsi et sans aucune interruption, avec les couilles serrées par une puissant élastique les étirant vers le bas et la tête dans une ruche pleine d’abeilles !... Bah, j’ai voulu tester sa résistance en usant de sa langue et de son petit cul de lope… Dans l’ensemble, cette chose a su me donner un peu du plaisir, mais peut mieux faire, à l’évidence… Mais, Monsieur le Marquis, je ne vous apprends rien… Ce chien soumis a encore beaucoup à apprendre… J’m’en vais lui apprendre, moi, à donner plus de plaisir, cette chose peut et doit faire mieux…, rajouta-t-elle en me cinglant une forte fessée d’une force incroyable qui claqua, fusa en ...
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