1. Jules et Jim


    Datte: 23/08/2018, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail hotel, école, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe confession, Auteur: Lily Moon, Source: Revebebe

    J’étais alors une jeune célibataire, libre comme l’air, dans les vingt-huit ans. J’avais atterri, pour des raisons trop longues à expliquer ici, dans une école de langues étrangères pour adultes à Kyoto au Japon où j’enseignais le français. J’ai rapidement fait la connaissance de deux autres jeunes collègues étrangers, célibataires à peu près du même âge que moi. L’un comme l’autre étaient Australiens. Christopher était un grand et beau mec, costaud, un peu du genre surfeur. Jan cultivait un côté plus intellectuel et romantique. L’un comme l’autre enseignaient l’anglais. Nous étions les trois seuls étrangers de l’école. Ils étaient sympas, complices et furent ravis d’accueillir une jolie Française. Les Anglo-saxons adorent les femmes françaises avec leurlovely accent. Je les aimais bien. Nous sortions souvent ensemble pour aller dîner le soir après les cours. En fait, Jan était le plus mignon et sans doute le plus fin des deux, mais l’autre aussi était bien, dans un autre genre, plus tonique.
    
    Un soir, nous sommes allés grignoter dans une auberge et nous avons bu du saké en avalant des brochettes. Le temps passait et ils m’ont proposé d’aller dans un karaoké. Je n’avais pas trop envie de chanter… Mais j’ai compris peu après l’avantage de la situation. Le karaoké au Japon, c’est une sorte de pièce fermée, une table, des banquettes autour et un grand écran, bref un endroit plus intime qu’un restaurant, sans pour autant être totalement privatisé puisque le serveur peut entrer ...
    ... à tout moment pour resservir les boissons. Mais quand même… Ils m’ont fait installer sur la banquette entre les deux et nous avons commencé à chanter, micro en main, des chansons anglaises. J’ai chanté une ou deux japonaises que je connaissais et ça les a impressionnés. Nous étions bien détendus et soudain je réalisai que je les désirais, non pas l’un ou l’autre, mais les deux. Oui, j’avais envie des deux ! Ce désir, je ne me l’étais jamais explicité si clairement mais là, soudain, assise dans une relative intimité entre eux deux, ça devenait évident.
    
    Christopher, le plus dégourdi des deux, m’a enserré les épaules pendant qu’on chantait en duo, puis a laissé traîner une main sur mon genou ou ma cuisse (j’étais en pantalon). Nous avions commandé des whiskies on the rocks et nos esprits commençaient à s’embrumer passablement, le mien en tous cas. Finalement il m’a embrassée et je l’ai laissé faire, et il a commencé à me caresser les seins sur le pull. Quand il a cessé de m’embrasser, je me suis redressée un peu et c’est alors Jan qui, de l’autre côté, m’a prise dans ses bras pour m’embrasser à son tour. C’était assez magique. J’avais l’impression que nous étions tous les trois sur la même longueur d’onde. Devenir la copine de l’un en écartant l’autre ne m’intéressait pas, et ils l’avaient apparemment compris.
    
    Je les ai embrassés ainsi tour à tour pendant que leurs mains partaient à l’aventure sur mon corps, mes seins, mes cuisses. Ce n’était pas désagréable du tout de les ...
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