Un plaisir partagé est un plaisir double (10)
Datte: 01/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Chantalbob, Source: Hds
... »
Je ne savais pas qu’elle aptitude prendre sans savoir s’il plaisantait ou qu’il prenait son rôle de flic au sérieux, mais je n’en emmenais pas large. Il commença par retirer mes jarretelles pour enlever mes bas, puis délia les nœuds de ma tenue qui cachaient mes seins. En serrant fortement mes nichons entre ses mains, en aplatissant mes nénés en forme de poire, gonflant mes tétons en petite queue. Se penchant sur moi il les prit entre ses lèvres en tirant dessus. Je ne peux pas dire que cela me faisait mal, car j’éprouvais une certaine excitation. Il continua à me déshabiller en retirant cette fois mon tablier et ma petite tenue. Je me laissais faire sans pouvoir bouger mes mains.
« - Petite salope, je vois que tu aimes te montrer à poil devant moi, tournes-toi sur le côté que je vois ton petit cul de pute. »
Jamais André ne m’avait parlé comme cela, je ne savais plus trop quoi penser. Il ouvrit le tiroir de ma table de nuit pour sortir une cravache que j’avais eue en cadeau en achetant un body string en cuir sur un site de vente coquin. Il commença doucement à me fouetter les fesses avec la cravache sur mon postérieur avant de m’en remettre un petit coup. Puis la correction est devenue de plus en plus rapide et plus vive. Posant la cravache, c’est avec sa main qu’il me donna la déculotté, la fessée était tellement musclée que mes fesses me chauffaient. Je devais avoir le cul tout rouge.
« - Alors traînée, tu adores cela n’est-ce pas, je vais te baiser comme tu ...
... le mérites petite garce. »
J’avais du mal à réagir ne connaissant pas mon copain sous cet angle là, aussi lorsqu’il a voulu me retirer mon string, je me suis tordue dans tous les sens en essayant de l’en empêcher, croisant mes jambes et en me débattant, (Je ne voulais surtout pas passer pour une Chantal couche toi là) mais il a fini par me l’arracher en me mettant entièrement nue. André se déshabilla et essaya de m’écarter les jambes, comme je résistais, il attrapa de nouveau la cravache et me fouetta le pubis. Après me l’avoir bien rougit, il se jeta sur moi, avec ses cuisses musclées, il écarta les miennes, avec la force qu’il avait, je ne pouvais plus résister. Son javelot en érection trouva de suite le centre de la cible et s’y enfonça vigoureusement. Il me pilonna bestialement.
Je me suis demandé un moment si je n’étais pas la salope qu’il disait car je me suis surprise à lui rendre la réplique en soulevant ma croupe et en donnant des petits coups de rein pour répondre à ses avances. Le pire c’est que je mouillais comme une fontaine.
« - Tu vois que tu aimes cela, tu es une poule de luxe, tu adores te faire biter, tirer ta crampe, te faire mettre un coup de queue, te faire moucher la chandelle, t’en faire mettre une sur le bout sale pute. »
Jamais aucun homme ne m’avait parlé comme cela avec des mots aussi crus, grivois et obscènes mais le pire c’est que cela m’excitais et m’inondait la chatte.
André a sorti sa quéquette de mon trou trempé pour s’installer ...