1. Vacances dans les Landes (1)


    Datte: 01/09/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Gerald93, Source: Xstory

    ... payaient les boissons, nous offrions les cigarettes. Et fatalement, les 2 paquets n’ont pas passé minuit. Qu’importe, 4 cartouches m’attendaient sagement dans la voiture. Petits souvenirs de notre incursion en Espagne de la veille.
    
    J’abandonnais cette joyeuse compagnie au pied de la Cathédrale Ste Marie et m’engageais dans la rue port-neuf pour rejoindre le grand parking derrière la mairie. Marcher me faisait du bien, mais sans être saoule, je me rendais compte que la rue allait être plus difficile à remonter qu’à l’aller.
    
    Un bras vint se poser lourdement sur mon épaule et me fit sursauter. Jérémy m’avait rattrapée.
    
    — Je t’accompagne, tu vas te perdre.
    
    S’il y a bien une chose que je possède à la différence de bien des filles, c’est le sens de l’orientation. Mais c’était gentil de sa part. J’ai vite compris qu’il était aussi intéressé...
    
    En quelques pas, il m’avait déjà avoué son attirance, posé sa main autour de mes hanches et glissé son regard de près dans mon décolleté. Il était visiblement plus jeune que moi, d’une bonne dizaine d’années. Et quand je lui fis remarquer, il rétorqua qu’il avait toujours aimé les femmes plus âgées et que d’ailleurs, son ex avait mon âge. Mensonge ? Qu’importe, ce soir, j’avais envie de le croire.
    
    Nous progressions difficilement dans cette rue étroite encombrée de festayres. Il m’attira sur le côté, sous les arcades. En longeant les rideaux baissés des boutiques, on marchait plus rapidement. Dans la pénombre, sa main glissa ...
    ... étrangement de ma hanche à ma fesse. J’avais beau la lui remonter elle redescendait et se faisait de plus en plus caressante au gré de nos pas. Un jeu plaisant finalement.
    
    Il me dit à l’oreille.
    
    — Tu es une drôle de coquine, tu n’as rien sous ta robe.
    
    Choquée, je m’arrêtais net :
    
    — Bien sûr que si !
    
    Puisque sa main connaissait déjà cette partie charnue de mon anatomie, je la guidais pour qu’il sente par-dessus le mince tissu, juste dans le creux de mes reins, le haut de mon string.
    
    Il constata son erreur, longuement, passa et repassa ses doigts le long de l’élastique. Moqueuse, je lui dis : « Si tu cherches à lire l’étiquette en braille, il est écrit ‘Etam, lavage 30° ‘ ! »
    
    Pour réponse, il posa ses lèvres sur les miennes, puis son autre main autour de mes hanches. Et dans le goût de sangria fruitée de ce baiser, je retrouvais mes 20 ans.
    
    Encouragé par cet « échange linguistique », mon Jérémy se sentit pousser des ailes. Les mains sur mes fesses, il entreprit de soulever ma robe. Je l’arrêtai juste à temps et repris ma marche, le traînant par la main.
    
    Sur le reste du trajet, j’eus droit à plein de compliments sur ma plastique et mes formes avenantes et généreuses. Avant de traverser la rue suivante, nous avons échangé un autre long baiser et je constatais avec fierté que ma compagnie lui avait provoqué une superbe érection. En passant devant la fontaine de la mairie, j’eus l’idée de l’éclabousser, histoire de rafraichir ses ardeurs et de le calmer un ...