Une journée de travail particulière partie 1 (1)
Datte: 30/08/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Aucuneideedenom, Source: Xstory
Le récit qui suit est semi-fictionnel :
Le cadre de l’histoire se situe dans un hôtel dans lequel j’ai travaillé pendant des grandes vacances, en étant étudiante pour me faire un peu d’argent de poche.
C’était un mois d’été donc, malgré les chaleurs, nous avions l’obligation de porter une tenue de travail fournie par l’hôtel, un ensemble haut et pantalon de service de couleur grise, âgée de 19 ans et du haut de mes 1m70,70 kilos, cheveux mi-longs, brune aux yeux marron, j’étais donc en binôme avec une personne titulaire du poste.
Pour un meilleur rendement, nous travaillons en divisant l’étage en deux, une partie pour elle, l’autre partie pour moi.
Ce jour-là, je m’approche donc de la dernière chambre qui me reste à faire, les autres chambres étant vides ou du moins les personnes non présentes, je n’ai pas pris la peine de regarder la petite pancarte sur la poignée de porte.
J’entre donc dans cette chambre, la porte à droite menant aux toilettes/salle de bain, je remarque un lit défait, par habitude, je me mets donc au travail en allant refaire ce lit proprement, laissant mon chariot à l’extérieur.
Ayant presque fini de refaire le lit, j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir, en me retournant, je remarque une personne plus âgée que moi (je dirais proche de la quarantaine), cheveux brun un peu poivre et sel, des épaules un peu larges, un buste bien dessiné et une ceinture abdominale très peu dessinée, qui sort serviette autour de la taille me ...
... demandant :
— Est-ce que je peux vous aider ?
Surprise et un peu embarrassée de ne pas avoir regardé s’il avait été demandé de ne pas être dérangé.
— Oh désolée monsieur, je n’avais pas remarqué que la chambre était encore occupée et que vous ne vouliez pas être dérangé, je vous prie d’accepter mes excuses.
M’apprêtant à quitter la chambre dans l’immédiat pour laisser cette personne tranquille, il me dit :
— Oh non ne soyez pas désolée, j’ai oublié de mettre cette petite pancarte, regardez.
Il me pointe du doigt la poignée de porte intérieure et effectivement, il n’avait pas mis l’avertissement « Ne pas être dérangé » je suis donc rassurée de ne pas avoir fait d’erreur.
— Vous pouvez terminer ce que vous avez à faire ici, le temps que je finisse de me préparer si vous le souhaitez.
— Oui très bien monsieur.
Je sors donc à mon chariot chercher quelques produits pour nettoyer la plus grande partie de la chambre, le temps que monsieur finisse ce qu’il avait à faire dans la salle de bain, le dos tourné, je sentais quand même un regard vers moi.
Me retournant, je remarque qu’il lance quelques regards vers moi, souriant, charmant, toujours la serviette de la taille.
— Vous avez peut-être une question monsieur ?
— Appelez-moi David, voulez-vous ?
— C’est-à-dire que je n’ai pas le droit d’être familière avec les clients, vous comprenez ?
— Je comprends, les règles de l’hôtel, j’imagine, mais vous pouvez, c’est moi qui vous l’autorise.
— Euh, très ...