1. Mon Épouse Vers La Débauche 05


    Datte: 30/08/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCadan3, Source: Literotica

    ... en frémit déjà.
    
    Marie ouvre la porte et, surpris, je vois entrer une femme qui doit avoir trente-cinq ans. Je la détaille. Elle a une perruque blonde. Elle est outrageusement maquillée. Un collier de chien, identique à celui de C. Elle portait un imperméable court et ciré noir qu'elle a immédiatement ôté. Dessous, elle est nue, excepté une large ceinture porte-jaretelles rouge et des bas noirs à couture. Elle s'est placée devant Ali, à côté de C. Elle a les jambes écartées, comme elle. Elle attend que son Maître lui donne la parole.
    
    • Lola, je te présente Jackie. Elle était professeur de français. Maintenant, c'est une autre de mes filles. Elle tapine sur le trottoir et n'oublie jamais de me ramener l'argent de ses passes. N'est-ce pas, Jackie?
    
    • Oui, Maître.
    
    • Tu as vu, Lola. Elle est à poil dehors. Tu aimerais ça?
    
    • J'obéirai à vos ordres, Maître.
    
    • Tant mieux, parce que tu es trop jeune pour aller sur le trottoir. Jackie avait déjà beaucoup servi. Lola, regarde donc sa chatte. Que vois-tu?
    
    • Mais, mais... elle n'a pas de poil, Maître.
    
    • Oui, Lola. Toutes mes putes ont la chatte rasée. Alors?
    
    • Rasez-moi la chatte, Maître.
    
    • C'est bien, Lola. Jackie, retourne sur le trottoir. Il me faut trois mille balles, cette nuit, sinon, c'est la maison d'abattage.
    
    C'est encore plus que je n'imaginais. Mon épouse fait maintenant partie des « filles » de Monsieur Ali. Pour bien montrer son emprise sur elle, il va marquer son corps dans sa parie la plus ...
    ... intime. Et c'est ma femme qui l'a demandé.
    
    Trois jours se sont écoulés. Mon épouse est restée à la maison, prétextant une grippe pour ne pas avoir à aller travailler. Chaque soir, quand je rentrais, elle était là, silencieuse, vêtue de sa vieille robe de chambre et pas maquillée. Les soirées se passaient quasiment sans un mot. Elle attendait d'aller se coucher, n'osant pas m'adresser la parole de peur de revenir sur sa vie en tant que Lola. Moi, je ne pensais qu'à ça. Je ne pouvais la regarder sans que toutes ces images de dépravation me reviennent dans la tête. La nuit, je n'arrivais pas à dormir et je n'osais pas la toucher.
    
    Quand le téléphone a sonné, le troisième soir, nous avons su, tous les deux, que ça recommençait. Avec de mon côté une espèce de joie malsaine, et du sien, de la résignation.
    
    • Alors, le petit cocu, ma pute a pu se reposer?
    
    • Oui, Monsieur.
    
    • Elle a toujours son gode dans le cul?
    
    Je me rendis compte que je ne l'avais plus vue nue depuis la dernière séance dans le bar. Je demandais alors à C, par gestes de se retourner et de soulever sa robe de chambre pour me montrer ses fesses. L'excroissance noire qui en sortait me prouvait qu'elle avait continué à obéir.
    
    • Oui, Monsieur.
    
    • À la bonne heure. Elle le garde toute la nuit et elle vient demain soir. Tu peux l'amener si tu veux, et si tu as encore envie de jouer au serveur. Je veux qu'on sache bien que c'est une putain dès qu'elle sera entrée dans mon restaurant. Rendez-vous à 18 ...
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