La Coloc' (14)
Datte: 28/08/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Poiluhds, Source: Xstory
... yeux bute encore sur la nouveauté de la situation.
Je le regarde et fais comprendre à Nicolas de soulever légèrement son bassin pour que Marc voie bien ma langue s’enrouler sur son gland. De profil, Marc ne peut pas ne pas voir le beau sexe de notre colocataire prisonnier de mes lèvres.
La main de Marc se tend vers sa queue. Il décalotte sa grosse queue épaisse et dans un éclat de lumière, il me semble voir briller son gland déjà humide de lubrifiant. Ira-t-il plus loin ? Mon esprit réagit comme s’il avait traversé la pièce pour habiter le corps de Marc et je ressens dans ma queue la tension de la sienne, tendue à fond, le gland dégagé tant la pression est forte, immobile, dressée, en attente d’une main, d’une étreinte, d’une langue... d’une énergie qui se transmettra pour que le sperme se prépare à jaillir. Mais Marc n’ose pas... le temps et le désir sont suspendus... Il m’offre le spectacle bandant de son érection, mais sa timidité le retient encore. Mâter ses copains en train de baiser... OK... mais se masturber ouvertement signifierait que toutes les digues qui protègent ce qu’il pensait connaître de lui-même ont cédé...
Je suce Nicolas avec gourmandise. De temps en temps, je jette un œil dans la direction de Marc... Sa queue est toujours aussi dure, je la sens brulante, frustrée et lui au ...
... bord du basculement... Je le surprends en train d’étaler furtivement le precum qui suinte en fond de son sexe sur son gland qui me semble approcher maintenant de la taille d’une petite orange... J’aimerais le sentir appuyé contre mon trou et m’ouvrir pour lui donner accès à mon ventre...
Sentant que Nicolas approche de l’éjaculation au même rythme que moi, je décide de changer de position. Nicolas comprend mon signal et quitte le canapé pour me permettre de passer à la suite de nos ébats.
Nicolas, debout face à Marc, regarde sa queue mouillée dressée au bas de son ventre
— Ca va ?
Marc ne répond pas tout de suite. Il semble soudain tellement timide...
— ... Oui...
Je comprends sa réponse comme une expression positive. Rien ne l’oblige à rester après tout et s’il ne nous a pas quittés après les premières secondes de nos petits jeux, c’est qu’il a dû y trouver du plaisir.
J’ai très envie de m’approcher et de le caresser, mais je sens au fond de moi que c’est la dernière chose à faire et qu’il faut laisser Marc libre du rythme auquel il s’associera, ou pas d’ailleurs, à nos étreintes. Nicolas, que l’on ne peut pas soupçonner de ne pas être entreprenant, semble observer la même retenue... Nous sommes trois dans cet espace surchauffé, sans nous parler. Nos corps cependant se comprennent...