Une mère pas comme les autres... (32)
Datte: 25/08/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: AlexisPC, Source: Xstory
... rejetée en arrière, ses yeux étaient fermés et sa bouche grande ouverte pour tenter de récupérer l’air qui commençait à lui faire défaut.
Lorsque sa partenaire pénétra ses chairs ouvertes, elle se tendit lentement et ses gémissements devinrent évident. C’est à cet instant que tout s’arrêta et, qu’à nouveau, la frustration envahit Maman, pour mon plus grand bonheur.
- NOOOOOOON ! MEEEERDE ! FAIS-MOI JOUIR SALOPE ! PHILIPPE ! NOOOOON !
Je souris, ravi de la tournure des événements.
- Mesdames, vous êtes parfaites. Mais j’aimerai que, pour l’instant, vous vous contentiez de passer vos mains sur le corps de ma dernière amie, sans lui octroyer vos faveurs.
- Vous êtes redoutable ! Me dit la blonde. C’est une douce torture que vous leur infligez ce soir.
- Je vous remercie ! Dis-je sincère.
- Vous n’avez pas l’intention de les laisser jouir ?
- Je n’en sais encore rien ! Je vais aviser selon la suite des événements et de la soirée. Peut-être que si elles restent obéissantes, nous pourrions l’envisager.
Elles me sourirent et commencèrent à caresser les seins, les hanches, le cul, les fesses et le cou d’une Manon qui ne savait plus où elle était.
- Aurore ! Fais-moi jouir maintenant.
Je me tournais vers Anaïs et puis Sylvie, un sourire sardonique au visage. Elles blêmirent lorsqu’elles comprirent enfin ce que j’attendais de mon invitée.
Je posais alors une main sur les cheveux d’Aurore et, lentement, je lui imprimais un mouvement ample tandis ...
... que sa gorge accueillait ma queue tendue, de plus en plus profondément.
- Continue de toucher tes seins, Aurore ! Commandé-je avec détermination mais une voix douce et caressante.
Cette dernière me sourit, difficilement puisque mon sexe jouait le rôle d’un piston entre ses lèvres, et recommença à caresser voluptueusement et avec des gestes amples, exagérant volontairement la prise en main de ses globes appétissants, dans le but de faire monter mon excitation d’un cran supplémentaire et de faire comprendre à ses rivales ce qu’elle entreprenait, se délectant à l’avance de mon offrande sur sa langue.
En face de moi, Anaïs et Sylvie semblaient au bord de l’apoplexie, frustrée par le ressac des orgasmes que je leur avais refusé précédemment et admirant une Aurore dans ses œuvres, m’amenant irrémédiablement cette fois vers un orgasme que je sentais dévastateur.
Manon n’était pas en reste. Sous les assauts conjugués de ses bourreaux, sa respiration s’accélérait, ses seins se tendaient et je pouvais voir qu’elle avait de plus en plus de mal à se maintenir sur ses jambes. Elle les écartait de façon presque obscène pour permettre l’intromission de plusieurs doigts dans sa chatte à présent dégoulinante de son plaisir. Les tortionnaires n’avaient pas suivi mes recommandations et je pouvais le comprendre. Il est difficile de résister à un corps comme celui de Manon dans un tel moment d’excitation, de stupre et d’absence totale de morale ou de scrupule. Mais je laissais faire, ...