1. Ma tante, mon oncle et ... tous les autres (13)


    Datte: 25/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... gesticulation du bassin de Moune et ses bruits de gorge laissent penser qu’elle offre une double fellation. J’imagine le tableau que nous formons à cinq sur la plage !!!
    
    L’homme profite de sa victoire, il se repose, le repos du guerrier... Il attend la reddition de la place face à l’envahisseur. Il commence à bouger, doucement juste pour habituer les intestins à sa présence. Le marteau monte et cogne le fond, puis monte plus haut et cogne plus fort, comme le marteau-pilon d’une forge... Il va et vient, il est long et descend à chaque fois jusqu’au fond. Mes chairs sont éclatées. Elles ne font qu’une avec le mandrin.
    
    A entendre, Moune est une sacrée suceuse, les bruits de gorges sont profonds, s’accélèrent, les gémissements des deux hommes laissent comprendre qu’ils s’abandonnent. Des gouttes de salive, de sperme tombent sur mes bras, en même temps la chatte déverse dans ma bouche une quantité de cyprine incroyable.
    
    Maintenant, la troisième jambe est en place, elle va et vient librement, comme la bielle dans le piston. Elle sort totalement du fourreau pour replonger jusqu’aux intestins, elle est à moi, je suis à elle. La besogne dure longtemps, l’homme ahane, son Han ! Han ! s’accompagne du Clap ! Clap ! de la rencontre de son ventre et de mes fesses. Il me baise longtemps, le rythme est soutenu, il s’accélère. Il cogne, cogne plus fort puis crie :
    
    — Oh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
    
    Son mandrin s’immobilise, se contracte, se libère, trois, quatre, cinq fois, ...
    ... il ne cesse de me remplir. Moune met ses deux mains sur mes fesses autour du membre qui sort, elle l’essore pour qu’il déverse ses dernières giclées de sperme dans le rectum. Elle se relève, lui quitte mon ventre et vient au-dessus de ma bouche, se branle encore, quelques gouttes de sperme s’écoulent dans ma gorge, il y enfonce son gland ramolli qui occupe toute la cavité. Ma langue le lèche, ma bouche le suce, le pompe, je récolte encore quelques gouttes de jouissance.
    
    Je reste allongé, je reviens sur terre, je reprends vie, je respire.
    
    Moune est allongée à mon côté, elle me câline, on reste ainsi à se faire des bisous, on se repose. Mais à dix-neuf ans, on reprend vie rapidement, surtout si on a près de soi une belle Tahitienne chaude comme les braises.
    
    Elle se penche vers moi, les bisous deviennent baisers fougueux, les langues sont agiles. Nos mains s’activent, elle sur mon sexe, moi sur ses seins ; je suis impressionné par ses tétons.
    
    Je prends le dessus, la renverse sur le dos, suce ses mamelons, plonge deux doigts dans sa chatte, lui branle le point G et lui masturbe le clito. Elle s’active sur mon manche de pioche. Je n’en peux plus, je me redresse, à genoux, je la prends par les jambes, son abricot est plein de mouille et d’un coup m’enfonce dans sa chatte jusqu’aux couilles. Elle est trempée. Elle est brûlante.
    
    De par ma position, mon cul laisse couler le long de mes cuisses le sperme qui le farcit.
    
    Moune m’enserre la taille de ses jambes, elle me ...