Les chroniques d'une vierge (9) - Histoires de Sexe

Les chroniques d'une vierge (9)

... touche pas mes seins, car je t’en empêcherai pas et ça risque d’aller trop loin. Heureusement, elle ne fait que me caresser le buste et descend ses mains le long de mes flancs. Puis elle les remonte rapidement, attrapant mes deux seins en coupe. Elle rigole encore. Je suis comme un jeu pour elle. Elle me presse les seins et je ne peux rien faire d’autre que de la laisser faire. Je n’ose pas l’admettre, mais j’aime qu’elle me touche. Par contre, il ne faut pas que ça aille plus loin.

— Humm, tes seins sont gros et fermes. C’est ce genre de seins que j’adore toucher.

OK elle vient clairement de m’avouer qu’elle aime les femmes. Je ne sais pas comment je me sens à cette idée, mais je la laisse jouer avec mes seins. Elle est derrière mon dos puis je la sens descendre à la hauteur de mes fesses puis les malaxe devant son visage. Elle me touche l’arrière des cuisses, passe ses mains devant et même entre elles, mais ne touche jamais mon sexe. Elle me renifle.

— Tu sens bon. Jacob a de la chance d’avoir une femme comme toi.

Oh ! Je viens de me souvenir que Jacob arrive bientôt ! Merde, il ne faut pas qu’il nous voie comme ça. Je me penche pour attraper mon jean et mon cul est maintenant à quelques centimètres de la face de Morgane. Je sens ma culotte s’enfoncer entre mes fesses et Morgane aime ce qu’elle a devant ses yeux.

— Hum, tu veux m’en montrer plus ma belle ?

Je ne réponds pas.

Quand je me relève pour remettre mon jean, Morgane semble déçue que ce ...

... soit terminé. Pour tout avouer, je le suis un peu, mais il le faut, car Jacob est en route et peut arriver à tout moment. Quand j’ai remis mon pantalon, Morgane me demande :

— Je t’avais dit que tu pouvais me montrer. C’était amusant n’est-ce pas ?

— euh-b-j jes..., je baffole.

— Chut, dit-elle en posant son index sur mes lèvres. Je sais que tu as aimé ça, sinon tu m’aurais arrêtée plus tôt, me dit-elle avec un baiser juste au coin de mes lèvres.

Ça y est, elle a compris.

— Reste comme ça, tu es beaucoup trop belle. Je dois me retenir pour ne pas te t-

On est arrêtées par le bruit de la porte qui s’ouvre. Jacob rentre. Nous nous assoyons sur le divan, faisant mine d’écouter la télé. Morgane attrape mon chandail et le glisse sous le sofa pour qu’il ne comprenne pas que je me suis déshabillée. Jacob entre dans le salon.

— Salut ! Salut, Alexie. Ça va ? Oh que t’es belle ma chérie ! T’es arrivée y a longtemps ?

— Non... Je viens juste.

— J’ai été très gentille avec elle. On est copines maintenant, rajoute Morgane en posant innocemment sa main sur ma cuisse qui était nue il y a quelques secondes.

— Super, je vais me changer et je vous rejoins.

— Pas besoin, elle va t’accompagner, dit Morgane en me poussant à aller avec lui.

Je suis Jacob jusque dans sa chambre, et en me retournant, Morgane me fait un clin d’œil, sachant exactement ce que nous allons faire.

— Alors tu avais quelque chose à me montrer ? me dit-il, aussitôt arrivés dans la ...