1. Les deux premières fois (1)


    Datte: 24/08/2022, Catégories: Gay Auteur: Tirelipimpon, Source: Xstory

    ... volant...
    
    Ça m’embête vraiment qu’on aille chez moi. OK ma femme n’est pas là mais bon, je n’aime pas l’idée. Le point positif c’est que je vais pouvoir me foutre à poil, prendre une douche après, baver autant que je veux.
    
    On se gare, lui ouvre la porte. Je lui demande s’il boit un coup. Non, c’est bon. Nous voilà debout dans la cuisine, et je décide de la jouer un peu tactilo-sensuel. Il n’a pas dit qu’il était contre. Je lui enlève le T-shirt et lui lèche les tétons. Il est surpris et un petit grognement m’indique qu’il est réceptif.
    
    C’est pas mal ça. Ma main droite descend sur son futal. Dominé moi ? Tu parles, c’est moi qui fais tout. Bon, j’ai toujours un problème avec l’odeur des mecs. C’est clair que je préfère les gonzesses à ce niveau-là.
    
    Je décide de faire comme si j’aimais ça, et ça fonctionne. Du coup je profite davantage du moment et me vient une gaule... Je crois que l’autre en face à lui aussi atteint ce stade. Son premier mec, pour un hétéro, ça doit le remuer quand même.
    
    Je décide de voir ce qu’il y a dans son boxer. Le résultat est pas mal du tout. Je joue un peu avec l’élastique et maintenant il ne peut nier l’évidence, il est raide comme un piquet et son sexe me saute au visage d’un coup.
    
    Je le décalotte doucement jusqu’au maximum, ce qui provoque des mouvements de bassin chez mon vis-à-vis. Je salive à mort, et tout en continuant à tirer sur sa queue, je me penche et le gobe du mieux que je peux.
    
    Je dois me rendre à l’évidence, il ...
    ... est très épais. Et ça me fait bander comme un porc.
    
    — Ah c’est booooon, bordel !
    
    Serais-je sensible à la flatterie ? Toujours est-il qu’à ces mots, je décharge direct dans mon jean avec un râle qui surprend Père Castor. Ah ben c’est malin, heureusement que je joue à domicile !
    
    — T’as juté dans ton froc ?!?
    
    — Han han.
    
    Tu parles comme c’est facile de parler avec une grosse queue dans la gueule. Évidemment, je n’ai pas dégluti pendant que j’orgasmais. Le résultat c’est que la salive s’est accumulée y compris quand je tentais de reprendre mes esprits.
    
    La moitié de ma salive tombe par terre, l’autre passe au recyclage. Ça ne sera pas du luxe, mon étalon affiche déjà l’intention d’aller plus avant dans l’inspection de ma cavité buccale.
    
    Mon propre sexe s’est doucement ratatiné, et je peux sentir l’humidité dans laquelle il baigne. Et l’odeur de sperme commence à me chatouiller le nez également. Il parait qu’elle stimule la jouissance. On va pouvoir vérifier ça d’un moment à l’autre.
    
    En effet, mon castor préféré va avoir droit à un traitement de faveur : son chibre commence à pénétrer et surtout déformer mon œsophage. Je le croyais épais, il est diaboliquement volumineux.
    
    Il n’est pas encore question de subir des va-et-vient. Ma gorge n’est pas assez relâchée, je vais finir par vomir. Je le tiens donc en moi le plus longtemps possible puis le laisse sortir. À peine est-il complètement dehors qu’une contraction le prend qui fait pointer son gland vers le ...
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