1. Une découverte inattendue (2)


    Datte: 22/08/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: JrBob5179, Source: Xstory

    ... whithout you" de U2 que je déboutonne mon chemisier et fais tomber la jupe à mes pieds.
    
    — Stop, ne va pas plus loin, je m’occupe du reste, dit-elle en se ruant sur moi.
    
    Elle m’enlace, écrase ses lèvres sur ma bouche, sa langue tournoyant autour de la mienne alors que ses mains se promènent sur mon dos, me donnant les premiers frissons.
    
    — Tes sous-vêtements sont magnifiques, ajoute-t-elle en dégrafant le soutien-gorge.
    
    — Dans ce cas pourquoi les enlèves-tu ?
    
    — Pour admirer ton joli corps, répond-elle en baissant ma culotte.
    
    — Sois sage, on va déjà boire l’apéritif.
    
    Aurore fait la sourde oreille, me pousse sur un fauteuil, se met à genoux, écarte mes cuisses et plaque sa bouche sur ma vulve. Je n’ai ni le courage ni l’envie de la raisonner, d’autant que mon sexe abonde dans son sens en s’offrant à ses caresses. Sa langue fait sa petite folle sur mon clitoris, son index s’enfonce dans mon vagin et je souffle comme une bête. La petite Léna, timide et pudique, s’est volatilisée, celle qui lui succède est plus mûre, à l’écoute de son corps et ses désirs, et n’éprouve aucune honte à faire l’amour avec une fille et y prendre énormément de plaisir. La jouissance est si forte que je me cambre sur le fauteuil, projetant mon sexe contre sa bouche, ses deux mains sous mes fesses. Je m’offre sans retenue, les cuisses largement écartées, le sexe béant, la bouche grande ouverte, le corps frémissant et impatient de jouir à l’extrême. Aurore, elle, montre plutôt des signes ...
    ... de patience, se délectant de mon intimité.
    
    — J’ai des crampes dans les bras, dis-je entre deux gémissements.
    
    — Mets-toi à genoux et tourne-toi, j’ai envie de ton p’tit cul.
    
    Je m’exécute de bon gré et cambre les fesses. Elle les écarte, sa langue dessine de petits cercles autour de mon anus, puis le lèche frénétiquement à en perdre le souffle. Au bord de l’asphyxie, ce sont ses doigts qui prennent le relais, deux dans mon vagin, un dans mon petit orifice. Ils impriment un rythme lent pour commencer puis leurs mouvements s’accélèrent, laminant mes chairs à m’en faire hurler. Des ondes électriques traversent mon corps qui s’agite comme un forcené sous la poussée d’une jouissance incommensurable et qu’il m’est impossible de maîtriser. L’orgasme éclate telle une bombe sur un champ de bataille, je crie, je hurle, je suffoque, pour finir affalée sur le divan, les fesses en l’air, le visage écrasé dans un coussin. Quand je parviens à me redresser, j’aperçois Aurore sucer ses doigts, les yeux pétillants, ce qui me fait sourire.
    
    — Tu m’as épuisée, dis-je en saisissant mon verre de gin-tonic que j’avale d’une seule traite.
    
    — Tu es trop belle ma Léna.
    
    — Jure-moi que ce n’est pas une passade (mon côté romantique revient au galop).
    
    — Je te le jure ! Je vais d’ailleurs te faire une proposition. À la prochaine rentrée universitaire, mes parents vont me louer un petit appart, tu pourrais le partager avec moi si ça te dit.
    
    — Génial ! Je paierai la moitié du loyer.
    
    — ...
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