1. une masturbation incestueuse... (1)


    Datte: 23/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    ... alors avec force. Cette fois les lanières de cuir laissèrent une marque rouge sur les fesses. Je me mis à la battre à coups redoublés. À chaque mouvement de mon bras, ma verge bandée se frottait à mon pantalon. Me procurant une sensation agréable. Je m’aperçus soudain que je me prenais au jeu et je m’arrêtais.
    
    Les fesses de ma mère étaient cramoisies. Zébrées de marques bleuâtres. J’en étais peu fier.
    
    En regardant le manche en bois avec sa boule au sommet, j’eus une intuition fulgurante. Emporté par je ne sais pas quelle folie, j’avais glissais le manche dans l’entrecuisse de ma mère. L’enfonçant sans difficulté dans le vagin ouvert et humide. Surprise, elle tourna la tête vers moi.
    
    — Mais… qu’est-ce que tu fais, mon chéri ? Bredouilla-t-elle.
    
    Sans répondre, je me mis à la limer profondément avec l’objet. Elle se mit à gémir. Il ne m’en fallait pas plus pour accélérer le mouvement de mes va-et-vient.
    
    — Ooooh…. Alain…. J’ai honte….
    
    En dépit de ses protestations, elle lança son fessier à la rencontre du martinet qui le défonçait. Réclamant de l’avoir encore plus fort, encore plus loin. Après son deuxième orgasme, je m’étais arrêté. Manche planté à fond dans le con trempé. Elle m’exprima sa frustration. Alors je me repris au jeu, lui pistonnant le ventre. Et ceci jusqu’à ce qu’elle atteigne le troisième orgasme. J’avais le poignet ...
    ... endolori.
    
    Puis j’ôtais l’objet gluant de son vagin pour lui caresser la raie des fesses. Avec le bout arrondi, j’effleurai l’anus. Avant de l’appuyer avec plus d’insistance. Ma mère fit un écart. Je lui cinglais durement le postérieur.
    
    — Ne bouge pas… veux-tu ?
    
    Honteux je sentais ma queue s’ériger. La situation m’excitait au plus haut point et malgré moi. Je frappais une deuxième fois, mais moins fort, et elle recommença à geindre. Je lui touchais de nouveau sa chatte, avec l’extrémité du manche. D’elle-même elle se cambra, cherchant à faire pénétrer l’objet entre ses lèvres. Je ne résistais pas à son appel. L’enfilant d‘une poussée. La besognant avec force.
    
    La mouille coulait le long de la tige de bois. Gouttant sur le lit et sur mes doigts. Elle hurlait, lançant vers l’arrière ses fesses écartelées, à la rencontre du manche qui la baisait comme l‘aurait fait une bonne bite. Combien d’orgasmes avait-elle eus ?
    
    Bientôt ses spasmes s’espaçaient et se calmaient. Elle se laissa tomber sur le lit. Alors qu’elle reprenait son souffle, je lui ôtais le manche encore prisonnier de ses lèvres.
    
    Cela nous avait tellement enthousiasmés que nous avions renouvelé l’expérience à plusieurs reprises. Et cela jusqu’à ce que je parte sous les drapeaux. Chose curieuse pendant cette période ma mère avait recueilli son neveu…
    
    Tiens ! Tiens… je me demande bien pourquoi… 
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